La France saigne, le gouvernement se gave — reprenons le contrôle !

Destinataire(s) : Emmanuel Macron, Président de la République française
La France saigne, le gouvernement se gave — reprenons le contrôle !

Ensemble, exigeons la création

du Département de Purification Budgétaire.


Le naufrage silencieux de la cinquième puissance mondiale

Deux cent soixante-deux milliards d'euros. (a)

Oui, 262 Milliards d'euros GASPILLÉS chaque année !

Gravez ce chiffre dans votre mémoire.

C'est notre honte nationale.

C'est le prix de notre lâcheté collective.

C'est ce que nous gaspillons.

Chaque année.

Sans que personne ne bronche.

Pendant que l'Allemagne équilibre ses comptes, que l'Irlande dégage des excédents records de 4,3%, que le Danemark accumule les surplus budgétaires avec 4,5% d'excédent, la France s'enfonce dans une spirale mortifère qui nous conduit droit vers le précipice, avec une dette publique qui a franchi la barre terrifiante des 3 416,3 milliards d'euros, soit 115,6% de notre richesse nationale (1), un niveau qui nous place parmi les cancres de l'Europe aux côtés de la Grèce d'avant la crise.

Mais le plus scandaleux n'est pas là.

Le véritable crime se cache ailleurs.

Il réside dans l'indifférence généralisée.



Les privilégiés qui nous saignent pendant qu'ils s'engraissent

Regardez-les, ces élus qui osent nous demander des sacrifices.

Ils cotisent un euro pour leur retraite.

Ils en touchent six virgule un (2).

Vous cotisez un euro.

Vous en touchez un virgule cinq.

C'est mathématique.

C'est documenté.

C'est révoltant.

Un député peut partir avec une pension complète après seulement cinq années de mandat tandis que vous, ouvrier, cadre, commerçant, entrepreneur, vous devez trimer quarante-trois années pour obtenir une retraite qui sera trois fois inférieure à la leur, et encore, si les caisses ne sont pas vides quand votre tour viendra enfin de toucher le fruit de votre labeur après une vie entière passée à financer leur train de vie princier.

Le contribuable français paie directement 2 376 euros sur les 2 700 euros de retraite moyenne d'un député (3).

Leurs cotisations ne couvrent que douze pour cent du total.

Douze pour cent !

Le reste sort de votre poche.

De la mienne.

De celle de vos enfants.

Et pendant qu'ils protègent jalousement ces privilèges d'un autre âge, le scandale de l'aide publique au développement éclate au grand jour : cinquante milliards d'euros de dette dissimulée, des projets "délirants" financés par vos impôts, révélés dans un rapport accablant de Guillaume Bigot pour l'Assemblée nationale en octobre 2024 (14).



L'avalanche fiscale qui écrase les forces vives de la nation

La loi de finances 2025 ressemble à une déclaration de guerre contre les contribuables.

Dix-neuf milliards trois cents millions d'euros de hausses d'impôts (4).

La TVA sur l'électricité passe de cinq virgule cinq à vingt pour cent (5).

Votre facture explose.

Vos entreprises suffoquent.

Les usines ferment.

Les emplois disparaissent.



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Le malus automobile atteindra quatre-vingt-dix mille euros en 2027 (6), transformant l'achat d'un véhicule familial en parcours du combattant fiscal, punissant les familles qui ont besoin d'espace, les artisans qui ont besoin de véhicules utilitaires, les ruraux qui n'ont pas d'autre choix que la voiture pour se déplacer dans des territoires abandonnés par les transports publics depuis des décennies.

L'exode industriel : quand nos fleurons fuient la France

Le massacre industriel s'accélère en cette fin 2025.

Valeo ferme deux usines et supprime huit cent soixante-huit postes (15).

Michelin abandonne Cholet et Vannes, mille deux cent cinquante-quatre emplois rayés de la carte (16).

Stellantis met ses usines à l'arrêt partout en Europe (17).

Plus de sept mille cinq cents emplois directs menacés rien qu'en novembre 2025.

Cent cinquante mille emplois pourraient disparaître d'ici la fin de l'année selon les experts (18).

Le bilan est catastrophique : soixante et onze sites industriels condamnés ou menacés de fermeture entre janvier et novembre 2024, contre cinquante-six ouvertures seulement (19).

Pour la première fois depuis des années, la France ferme plus d'usines qu'elle n'en ouvre.

La désindustrialisation est de retour.

Massive.

Brutale.

Irréversible si nous n'agissons pas.

Et pendant ce carnage, où va l'argent public ? Le "Livre Noir de l'Argent Public" publié en novembre 2025 révèle comment des milliards d'euros partent en fumée chaque année, sans véritable contrôle ni sanctions (20).

L'électricité française, jadis notre fierté, notre avantage compétitif, est devenue une arme de destruction massive contre notre propre tissu industriel.

Nos entreprises paient seize milliards d'euros de surcoût énergétique cette année (10).

Seize milliards qui partent en fumée.

Seize milliards qui ne financent ni l'innovation, ni l'emploi, ni l'investissement.

Pendant ce temps, l'Amérique déroule le tapis rouge avec son Inflation Reduction Act, l'Irlande attire nos sièges sociaux avec sa fiscalité attractive, la Suisse accueille nos entrepreneurs avec ses charges raisonnables, et nous, nous continuons à taxer, à réglementer, à compliquer, à punir ceux qui osent encore entreprendre dans ce pays qui fut pourtant celui de l'audace industrielle et de l'excellence entrepreneuriale.

Stop aux taxes et impôts absurdes, occupons nous du vrai problème.



La solution existe : le Département de Purification Budgétaire

Les Américains l'ont compris.

Trump a créé le DOGE en janvier 2025.

Department of Government Efficiency.

Un modèle d'efficacité brutale.

Une machine à couper le gaspillage.

Certes, Elon Musk n'est plus aux commandes depuis mai 2025 (11), mais la structure reste, l'ambition demeure, les résultats commencent à se voir avec des équipes DOGE intégrées dans chaque agence fédérale, traquant les doublons, supprimant les structures inutiles, digitalisant les procédures archaïques.

La France peut faire pareil, la France doit faire pareil, la France va faire pareil si nous, citoyens, l'exigeons avec suffisamment de force et de détermination pour que nos dirigeants n'aient plus d'autre choix que de céder à cette évidence : nous ne pouvons plus continuer à gaspiller des centaines de milliards pendant que notre pays s'effondre sous le poids de sa propre incompétence administrative.

Notre Département de Purification Budgétaire sera composé de dix experts indépendants.

Cinq chefs d'entreprise qui ont prouvé leur capacité à restructurer.

Trois experts-comptables rompus à l'audit.

Deux magistrats de la Cour des comptes.

Dix-huit mois de mandat.

Non renouvelable.

Indépendance totale garantie.

Ces dix mousquetaires de la rigueur budgétaire auront pour mission de traquer chaque euro gaspillé, d'identifier chaque structure redondante parmi les mille deux cent quarante-quatre agences publiques qui se marchent sur les pieds, de supprimer chaque dépense inutile, de fusionner chaque doublon, de digitaliser chaque procédure archaïque, de responsabiliser chaque gestionnaire public qui dilapide l'argent du contribuable comme s'il s'agissait de billets de Monopoly.



Le plan de bataille pour reconquérir nos finances

Les cent premiers jours seront décisifs.

Audit flash des vingt plus grosses structures.

Gel immédiat des embauches non essentielles.

Cinq milliards d'économies immédiates.

Visibles.

Tangibles.

Indiscutables.

Le message sera clair : la récréation budgétaire est terminée, le temps du grand nettoyage est arrivé, et ceux qui ont profité du système pendant des décennies vont devoir rendre des comptes, au sens propre comme au sens figuré, car la responsabilité pénale des gestionnaires publics pour gaspillage avéré sera inscrite dans la loi.

Six mois plus tard, vingt milliards d'économies structurelles seront identifiées et mises en œuvre.

Les premières agences inutiles seront supprimées.

Les doublons État-Régions-Départements éliminés.

La digitalisation massive lancée.

Les régimes spéciaux alignés sur le régime général, y compris et surtout celui des parlementaires qui devront montrer l'exemple s'ils veulent conserver ne serait-ce qu'une once de légitimité pour demander des efforts aux Français qui triment depuis des décennies pour financer leurs privilèges dorés.

Au terme des dix-huit mois, soixante milliards d'euros d'économies annuelles structurelles seront réalisées.

Pas en sabrant dans les services publics essentiels.

Pas en supprimant les postes d'infirmières ou de professeurs.

Mais en éliminant méthodiquement le gras.

Les surcoûts.

Les gabegies.

Les fromages.

Les planques.

Soixante milliards qui pourront être réinvestis dans ce qui compte vraiment : baisser les charges qui étranglent nos entreprises, réduire les impôts qui écrasent les classes moyennes, investir dans les infrastructures qui s'effondrent, financer la recherche qui nous permettra de rester dans la course mondiale, soutenir nos forces de sécurité abandonnées, équiper nos hôpitaux délabrés, rénover nos écoles qui tombent en ruine.

L'urgence absolue d'agir maintenant

Chaque jour qui passe creuse notre tombe budgétaire de sept cent quinze millions d'euros supplémentaires.

Sept cent quinze millions.

Par jour.

Pendant que vous lisez ces lignes.

Pendant que nos dirigeants tergiversent.

Pendant que les commissions commissionnent.

Pendant que les rapports s'empilent.

L'argent s'envole, la dette s'accumule, l'avenir de nos enfants s'assombrit, et nous restons là, passifs, résignés, comme si nous avions accepté l'inacceptable, comme si nous avions abdiqué notre droit le plus fondamental : celui d'exiger que l'argent public soit géré avec la même rigueur que nous gérons nos propres finances familiales.

La Cour des comptes elle-même a sonné l'alarme : "Il est plus que jamais impératif de placer la France sur une trajectoire crédible de redressement des finances publiques" (12).

Mais qui écoute ?

Qui agit ?

Qui ose ?

Selon le baromètre Elabe d'octobre 2024, quatre-vingt-deux pour cent des Français jugent urgent de réduire la dette publique (13).

Nous sommes une écrasante majorité.

Nous avons la légitimité.

Nous avons le nombre.

Il nous manque juste le courage de l'exiger.

Le dérapage des comptes publics français a même été qualifié d'"énorme scandale d'État" par le Rassemblement national en novembre 2025, après les révélations sur le courrier confidentiel de Bruno Le Maire à Emmanuel Macron dissimulant la gravité de la situation (21).



Cette pétition n'est pas une supplique.

C'est une EXIGENCE.

C'est un ULTIMATUM.

C'est notre DERNIÈRE CHANCE.

Nous visons cinq cent mille signatures en trente jours pour créer un mouvement irrésistible que personne ne pourra ignorer, un raz-de-marée citoyen qui submergera les résistances, brisera les conservatismes, imposera le changement par la force de la volonté populaire exprimée massivement, unanimement, définitivement.

NOTRE PLAN D'ACTION :

À 100 000 signatures → Nous interpellerons officiellement le gouvernement

À 250 000 signatures → Nous organiserons une conférence de presse nationale

À 500 000 signatures → Nous déposerons une proposition de loi

Nous ne lâcherons RIEN.

Nous ne céderons sur RIEN.

Nous irons jusqu'au BOUT.

Le Département de Purification Budgétaire verra le jour parce que la France n'a plus le choix, parce que nous n'avons plus le temps, parce que l'alternative est trop terrible pour être contemplée : la faillite de l'État, l'effondrement de notre modèle social, la paupérisation généralisée, la perte définitive de notre rang dans le concert des nations.

AGISSEZ MAINTENANT - CHAQUE SIGNATURE COMPTE


1. SIGNEZ LA PÉTITION IMMÉDIATEMENT

2. PARTAGEZ MASSIVEMENT SUR VOS RÉSEAUX

3. MOBILISEZ VOTRE ENTOURAGE, VOS COLLÈGUES, VOTRE FAMILLE

C'est VOTRE argent qu'ils gaspillent.

C'est VOTRE avenir qu'ils hypothèquent.

C'est VOTRE pays qu'ils sabordent.

IL EST TEMPS DE DIRE STOP.

IL EST TEMPS DE REPRENDRE LE CONTRÔLE.

IL EST TEMPS D'IMPOSER LA RIGUEUR BUDGÉTAIRE.

La France a les moyens de sa grandeur.

Elle n'a plus les moyens de son gaspillage.


LE DÉPARTEMENT DE PURIFICATION BUDGÉTAIRE : MAINTENANT OU JAMAIS.




Auteur : L'Observateur Financier

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