Depuis le 31 août, le Dr Charbonier, médecin reconnu et qui a toujours travaillé à visage découvert, est victime d’une attaque médiatique montée de toutes pièces.
Ce qui aurait dû être un simple reportage d’information s’est transformé en attaque publique fondée sur un montage orienté et des affirmations fausses.
Ce n’est plus de l’information, c’est de la déformation des faits et de la désinformation.
Il est aujourd’hui capital de défendre l’honneur et la probité du Dr Charbonier et, à travers son cas, de défendre le droit de chacun à ne pas être piégé par un média aux méthodes malhonnêtes.
Le Dr Jean-Jacques Charbonier a laissé TF1 entrer librement dans l’un de ses ateliers d’hypnose qu’il organise depuis 2018. Aucun secret, aucune restriction. Il a joué la transparence totale, fait confiance à l’équipe de tournage, et cru en la possibilité d’un reportage honnête.
En retour, TF1 a livré le 31 août dernier dans l’émission « Sept à Huit » un montage orienté qui le place parmi des « charlatans », insiste sur des affaires déjà réglées, transforme 10 % d’échec en verdict général, et des i formations calomnieuses.
Parmi elles :
• qu’il promettrait un contact avec les défunts,
• qu’il générerait un chiffre d’affaires jamais perçu.
Le combat du Dr Charbonier pour défendre son honneur
Mi-septembre, la réalisatrice est pourtant apparue pour ce qu’elle est dans cette affaire : une journaliste ayant donné l’image d’une observatrice neutre tout en poursuivant une intention inverse.
Le Dr Charbonier a demandé explications et réparations à TF1 suite à cette atteinte diffamatoire à son endroit et à sa pratique.
Le Dr Charbonier a contre-attaqué avec les moyens dont chaque citoyen dispose : droit de réponse, analyses détaillées des erreurs, clarification point par point.
En octobre, TF1 lui répond en se déclarant… non responsable de son propre contenu.
Une réponse qui interroge et qui déclenche l’indignation de nombreux citoyens une fois rendue publique.
Début novembre, le témoignage d’Elize G., autre participante d’un reportage de « Sept à Huit », confirme l’existence d’une méthode problématique : manipulation, scénarisation, promesses non tenues, image déformée.
Fin novembre, le Dr Charbonier a déposé plainte avec constitution de partie civile contre TF1, ses dirigeants, la société de production et la réalisatrice.
Plusieurs éléments précis fondent la plainte : propos attribués au présentateur Harry Roselmack, affirmation d’un prétendu versement de 300 000 €, insinuations d’escroquerie, montage trompeur autour de ses activités et de sa situation professionnelle.
Des dizaines de témoignages sur l’honneur confirment qu’il n’a jamais promis ce dont on l’accuse.
Il faut dénoncer les pratiques de manipulation de TF1
Il ne s’agit pas ici de débattre d’une approche thérapeutique non conventionnelle.
Il s’agit du droit fondamental de tout citoyen à ne pas être manipulé par un média censé l’informer.
Dans cette affaire, les intentions déclarées n’étaient pas réelles, les propos ont été déformés, les chiffres faussés, le montage orienté. Ce n’est plus une erreur journalistique. C’est la fabrication d’un personnage à charge.
La construction d’un récit qui ne correspond pas au vécu. La transformation d’un atelier thérapeutique en scène suspecte.
Cette méthode ne touche pas seulement le Dr Charbonier. Elle touche toute personne ayant fait confiance à un média et s’étant retrouvée trahie par la version diffusée de son histoire.
Car la réalisatrice de reportage, Julie Dulac, s’est montrée empathique, bienveillante, chaleureuse… jusqu’au jour où le masque tombe. Le reportage révèle une intention qui n’a jamais été annoncée.
Ce n’était pas une enquête : c’était un piège !
Le procédé est simple : filmer avec gentillesse, monter avec malveillance, diffuser avec accusation.
Et le public découvre un portrait fabriqué, non une réalité observée.
Une plainte nécessaire, une bataille exemplaire
Face à la manipulation et cette atteinte à son honneur, le Dr Charbonier ne se tait pas.
Il utilise, je le disais, son droit de réponse, expose les erreurs, démonte chaque mensonge.
TF1, dans un geste sidérant, prétend ensuite ne pas être responsable de ce qu’elle diffuse.
Dr Charbonier, vous êtes courageux.
Non seulement vous avez droit, mais raison de porter plainte contre TF1, contre ses dirigeants, contre la société de production, contre la réalisatrice.
La plainte est solide. Documentée. Étayée par des dizaines de témoignages sur l’honneur.
Elle vise les propos falsifiés, les insinuations d’escroquerie, les chiffres inventés, et l’image mensongère construite pour lui nuire.
À présent c’est à nous de vous soutenir dans votre combat et ne pas laisser cette intolérable technique de manipulation médiatique « voler » votre travail et votre image.
Ce combat est celui de tous
Ce qui se joue dépasse largement le Dr Charbonier.
Il s’agit de votre droit, en tant que citoyen, à une information honnête…
… Et de votre droit, en tant que citoyen, de ne pas vous faire « voler » votre réputation et votre image par des moyens relevant de la plus déloyale manipulation.
Il s’agit du refus de laisser un média transformer une personne en sujet à charge pour nourrir une narration sensationnaliste.
Le pouvoir des médias en général, et des médias subventionnés à plus forte raison, n’autorise pas la manipulation.
Si ce procédé reste impuni, il se répétera.
Et demain, la prochaine victime pourrait être vous.
En signant cette pétition vous vous joignez à ces demandes :
• La reconnaissance des fautes commises par TF1.
• La correction publique des informations fausses diffusées.
• Le respect strict du droit de réponse.
• La mise en lumière des responsabilités précises dans ce montage falsifié.
• Et, plus largement, la fin des méthodes qui piègent ceux qui ouvrent leurs portes en toute bonne foi.
Soutenez le Dr Jean-Jacques Charbonier, pour son refus de se laisser écraser, pour son combat afin que justice soit faite. Sa lutte est une digue contre le cynisme médiatique.
Signez pour la justice, pour l’intégrité, pour la vérité.
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