Le canton de Vaud ?? récidive :

LES SERVICES DE "PROTECTION" DE L'ENFANCE ONT ENLEVÉ UN BÉBÉ À SA NAISSANCE !

"Bénédicte" (nom d'emprunt) a été enlevée 3 jours après sa naissance à sa mère, au CHUV* de Lausanne, par la DGEJ (Direction générale de l’enfance et de la jeunesse).

*Centre hospitalier universitaire vaudois

« C’est inhumain de m’avoir enlevé mon bébé »

Une fillette a été placée en foyer quelques jours après sa naissance au CHUV. Depuis sept mois, sa mère ne peut la voir qu’une heure et demie par semaine sous la surveillance d'une éducatrice.

La petite Bénédicte ne va pas bien

Un rapport du CHUV constate un retard de développement. Son entourage s’inquiète car elle ne voit sa mère que quelques heures par semaine.

Maintenant âgée de 10 mois, la petite Bénédicte (prénom d’emprunt) ne se retourne pas, ne tient pas assise, ne babille que très peu et sourit rarement.

23 personnalités tancent les autorités :

Cher Canton de Vaud, rendez-lui le bébé que vous lui avez enlevé !

"Nous sommes un collectif de citoyens, avocats, professeurs, médecins, neuroscientifiques & spécialistes du dév. de l’enfant qui réagit à l’histoire de Bénédicte. Un bébé qui a été enlevé à sa mère et placé 3 jours après sa naissance et qui a été retrouvé en état de mort apparente après le placement."

La maman, suite à des symptômes de prééclampsie apparus brusquement et mettant en danger sa vie et celle de son bébé, avait accouché par césarienne d’urgence le 30 mai 2023.

Alors que l’accouchement avait été très pénible, la maman se sent très vite jugée par des paroles dévalorisantes sur son choix de grossesse par PMA. Au lieu de l’aider et de montrer un minimum d’empathie pour cette maman qui vient d’accoucher en urgence de son 1er bébé dans des conditions difficiles, le personnel et le CAN Team du CHUV lui reprochent un manque d’initiative le 2 juin alors qu’elle n’a retrouvé son bébé que depuis la veille.

«Il a été notamment observé un manque d’initiative de la part de Madame pour s’occuper de son bébé, un portage peu secure, des difficultés à appliquer les conseils des soignants concernant l’apprentissage alimentaire de son bébé, préférant faire confiance au contenu trouvé sur internet.»

Quelques heures après ce signalement, la maman fait un pic de tension et doit être hospitalisée aux soins intensifs. Son avocat, Me Bertrand Gygax indique qu’en 28 ans de carrière, il n’a jamais vu une femme se faire arracher son nourrisson dans de telles conditions.

Or les critères ne sont pas réunis pour décider d’un placement de l’enfant: il n’y a ni négligence, ni abus, ni violence, ni mise en danger. Les violences obstétricales et les préjugés à l’égard des femmes sont pourtant officiellement une préoccupation importante pour les autorités de ce canton.

La DGEJ retire le 2 juin, sur la base de ce signalement, 3 jours après sa naissance, le bébé à sa mère. Le 5 juin, la Justice de Paix reçoit le signalement et confie un mandat de garde à la DGEJ qui, le lendemain, décide de placer le bébé en foyer en ne laissant que 1h30 de visite pour sa mère par semaine et aucune pour sa famille !

Bénédicte a été retrouvée en état de mort apparente dans le foyer de l’Abri à Lausanne, le 22 juin, après 10 jours de placement.

Les connaissances scientifiques démontrent depuis plus d’un siècle qu’un enfant exposé à une séparation précoce (les 3 premières années de vie) est à risque de mort prématurée, d’une atrophie du cerveau et à des troubles psychiatriques.

Après le scandale des placements abusifs pour lesquels la Confédération et le canton de Vaud se sont récemment excusés, on ne peut imaginer que de telles pratiques perdurent....