Contrôleurs TAO d’Orleans : mon agression ne doit pas rester impunie

En septembre 2023, j’ai subi une agression verbale et physique par des agents de KEOLIS à Orléans. Cette pétition a pour objectif de visibiliser mon histoire et essayer d’obtenir justice.

Car le pire est maintenant arrivé : je ne suis plus seulement victime de violences verbales et physiques de la part d’agents censé sécuriser les usagers du réseau KEOLIS, mais je suis également mis en cause d’accusations fausses . Les agents ont déposé plainte pour « agression physiques ; menaces » alors même que la fiabilité de leur récit est plus que questionable (changement de récit dans leurs dépôts de plaintes, fausses déclarations, calomnies…). Ils ont également ajoutés des prétendues violences commises envers la contrôleuse, avec qui la situation s’est envenimée.

Explication des faits :

Je prends mon bus à 6:20 pour aller travailler. Mon bus est arrivé en avance donc j’ai dû courir pour le rattraper et une fois dans le bus, j’ai oublier de composter. Les contrôleurs montent plus tard dans le bus et me demande de payer une contravention (j’admets mon erreur et présente ma pièce d’identité). Ils sont agacés du fait que j’essaye de me justifier auprès d’eux - du fait que je ne fraudais pas volontairement mais que cela était un oubli de ma part dû à l’avance du bus et la course que j’ai dû faire pour l’avoir. Ils commencent à proférez à ma personne insultes et moqueries, se plaçant en dehors de toute procédure habituelle de contrôle. La contrôleuse a notamment tenu des propos très irrespectueux (« les gens comme vous ne prendront plus le bus ; tu nous fais chier ; sale gamine » etc…). Ils finissent par appeler la police pour me faire un contrôle mais la police n’est pas disponible. J’arrive à mon terminus et scanne mon billet électronique pour éviter plus de problèmes. Je demande au chauffeur de bus le numéro de TAO (KEOLIS ) pour contacter le service client afin de parler du contrôle très incorrect que j’ai subi. Les contrôleurs m’attendent sur le quai devant la porte de bus et continuent à se moquer de moi et avancent dans ma direction alors que le contrôle est fini. Je leur demande de me laisser tranquille et insiste sur l’harcèlement qu’ils me font actuellement subir. L’une des contrôleuses s’est d’ailleurs permise de violer mon espace personnel pour me chuchoter à l’oreille que les « femmes comme nous, sont des mal baisées». Suite à cet affront, je l’ai repoussé et elle malencontreusement est tombée par terre.

Elle s’est relevée et m’a attrapé par les cheveux, elle a commencé à me rouer de coups pendant que les autres contrôleurs assistaient à la scène et ne faisaient rien. Je me défendais en essayant de la repousser (Sans donner de coup ). J’ai notamment demandé à une contrôleuse d’appeler la police car l’agression devenais de plus en plus violente j’ai pris peur de la tournure de la violence Un deuxième contrôleur rentre dans l’altercation et m’étrangle et me bloque dans un coins de l’arrêt de bus puis me balance sur le banc, je suis bloquée. Il me frappe contre l’arrêt de bus et me retient au niveau du thorax, il est impossible pour moi de bouger. Des passant interviennent et demandent au monsieur de me lâcher, impossible pour lui. Je le vois sourire, c’est finalement un homme qui a réussi à l’écarter afin qu’il me lâche.

La police arrive et écoute nos deux versions ( l’homme qui m’a agresser dit que je n’ai pas de traces de strangulations ; l’autre dame assume de m’avoir parler dans mon oreilles et donnée des coups .. ) dans l’incompréhension ont me demande de suivre les agents de police pour entendre ma version des faits.

Arrivée sur places car je suis mise en cause (sans garde à vue) pour AGRESSION PHYSIQUE sur agent de TAO et ont me dit « je me suis attaquée au mauvaise personnes car elles sont protéger en vue de leurs statues (?) et je tombe de 4 étages car je venais de me faire agresser.

Deux jours après je suis reconvoqué et là, le récit a changé. Ils disent que j’ai roué de coups, à terre, la personne frappée au sol la dame au sol ; cracher sur eux et cassée leurs matériel de travail ( hors quand la police est venue pendant l’agression ils ont affirmer que personnes été blesser , ..) Tout, absolument tout, est monté de toutes pièces. Un document de SOS médecins a été fait par la contrôleuse qui ne correspond pas du tout à la violence décrite (sensibilité au cuir chevelu et lombago). Je décide par la suite de porter plainte, à mon tour, pour raconter mon témoignage et de voir mon médecin traitant

Mon dossier passe aux mains du procureur de la république

Sans. Suite. ( jusqu’à aujourd’hui)

Des journaux ont publié des articles sur l’événement en stipulant que j’ai poussé la dame sur une poussette, que je n’avais pas de ticket, et que j’ai été interpellé car j’été limite incontrôlable etc.. par la police alors que c’est encore un mensonge…

Les caméras apparemment n’ont pas filmer mon agression ce matin là..

Ce genre d’injustices est vraiment insoutenable ; j’aimerais que les citoyens d’Orléans soit au courant de la situations et surtout sensibiliser ; j’aimerais que des enquêtes et témoignages soit fait pour éviter une autres bavures de la part de certains agents de contrôle.

Et j’aimerais que l’abus de pouvoir s’arrête et que tout le monde soit réellement légitime d’être défendue.