La crise sanitaire a eu un terrible impact sur la santé mentale de nos compatriotes.
La peur, la solitude et l’insécurité face à l’avenir professionnel et économique ont fait exploser les cas de dépression, d’insomnie et de suicide.
Les premières études commencent à peine à démontrer l’étendue de la catastrophe mais certaines conséquences sont déjà bien visibles :
L’augmentation massive de la consommation d’antidépresseurs, de somnifères et d’hypnotiques. En une année on recense [1] :
- + 3,4 millions d’anxiolytiques (benzodiazépines)
- + 1,9 million d’antidépresseurs
- + 1,4 million d’hypnotiques (somnifères)
- + 440 000 d’antipsychotiques
Comment ose-t-on encore facilement prescrire ces poisons dans une période aussi critique ?
Signez pour obliger les médecins à étudier une solution alternative avant de prescrire un somnifère :
Ils vous rendent accro, réduisent votre espérance de vie, augmentent vos risques d'Alzheimer
Cela fait des années que nos plus grands experts tirent la sonnette d’alarme
À la télévision, le docteur en psychiatrie et spécialiste du sommeil Patrick Lemoine n’hésite pas à qualifier les somnifères d’ « escroquerie intellectuelle » :
« D'abord c'est une escroquerie intellectuelle. Somnifère, ça veut dire en latin “qui apporte le sommeil”.
Ce n'est pas du sommeil, c'est de l'anesthésie légère. Et donc tous les bienfaits du sommeil, on les a pas. »
À chacune de ses interventions, il nous met en garde contre leurs terribles effets secondaires [2] :
- D’abord la dépendance, avec des patients tellement accros qu’ils consomment plus de 50 comprimés par jour ! C’est une situation qui guette 1 Français sur 4 quand on consomme des somnifères pendant plus de 3 mois. Il faut alors les sevrer, comme des toxicomanes.
- Les troubles de la vigilance, particulièrement en voiture, peuvent être la source d’accidents graves, au travail comme la maison
- Une étude française a montré que la consommation quotidienne d’un comprimé pendant plus de 5 mois augmentait le risque d’Alzheimer de 50 %
- Et le comble, c’est qu’ils vous assomment tellement que vous devenez sujet à l’apnée du sommeil... et multipliez par 2 vos chances de mourir dans votre lit. Une étude très sérieuse menée pendant plus de 10 ans sur 100 000 sujets l’a récemment confirmé.
Pourtant, les géants de l’industrie pharmaceutique ne se gênent pas pour continuer à faire des profits.
Mettons fin au massacre en interdisant la distribution effrénée de ces dangereuses pilules.
Anesthésier les gens en attendant la fin de la crise n’est pas une solution
Pourquoi ne pas focaliser nos efforts sur les alternatives saines ?
Benzodiazépines, somnifères, hypnotiques : ces cocktails chimiques et dangereux ne sont pas la solution.
Cherchons des approches plus douces, respectueuses et naturelles.
Il est inadmissible de continuer à fermer les yeux sur ce problème juste pour éviter de fâcher une bande de businessmen en blouse blanche.
Il faut changer de mentalité
Surtout quand on sait que des dizaines d’alternatives naturelles saines et respectueuses des équilibres du corps existent et ont fait leurs preuves :
- Nous avons des plantes aussi bien efficaces pour chasser le stress et l’anxiété, trouver le sommeil, dormir profondément, éviter les réveils nocturnes et se réveiller en pleine forme.
- Des modèles efficaces de psychothérapies capables de cerner l’origine du problème et le traiter à la source en à peine 3 séances.
- La luminothérapie qui permet de régler son horloge biologique pour retrouver son rythme et s’endormir naturellement.
Signez en urgence cette pétition pour exiger du gouvernement :
- qu’on oblige les médecins à étudier les voies alternatives de traitement du sommeil avant de prescrire des somnifères
- que soit respectée la limite de prescription maximale des somnifères de 4 mois (et pas 2 ans comme c’est le cas dans pour plus de 52% des consommateurs)
- qu’on continue à chercher des solutions alternatives pour soutenir la population dans cette période difficile
Si vous aussi vous refusez de voir l’industrie pharmaceutique profiter de la crise pour nous transformer en drogués, signez et partagez cette pétition :
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