Contamination massive de l’eau potable - Appel urgent aux autorités !

Destinataire(s) : Monsieur le Président de la République
Contamination massive de l’eau potable - Appel urgent aux autorités !

Les journaux ne parlent que de ça…

Ils font tout un foin pour les traitements de filtration interdits utilisés par de grandes marques d’eau en bouteille.(1)

Mais en réalité, ce scandale en cache un autre, bien plus grave…

La contamination massive de l’eau potable en France !

Que ce soit celle en bouteille ou du robinet, aucune eau n’est épargnée

Selon de récentes enquêtes, c’est encore pire que tout ce qu’on pouvait imaginer !

Nos autorités doivent prendre des mesures de toute urgence.

Le droit à une eau potable, sans polluants, et un droit fondamental.

C’est même plus qu’un droit, c’est un besoin vital.

Eau du robinet : êtes-vous assez fou pour avaler ça ?

Si vous avez renoncé à l’eau en bouteille pour celle du robinet, lisez ce qui suit…

Vous risquez d’être surpris par ce que vous avalez peut-être sans le savoir.

En 2022, des enquêtes indépendantes ont mis en cause de graves contaminations des eaux françaises par les PFAS.

Ces composés, per- et polyfluoroalkylées sont massivement utilisés dans l’industrie (poêles, emballages, textiles, voitures, peintures, pesticides…).

Le problème, c’est qu’ils sont quasi-indestructibles : ils s’accumulent ainsi dans les sols, les rivières, l’air… et dans le corps humain !

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES), ces composés chimiques « provoquent une augmentation du taux de cholestérol, peuvent entraîner des cancers, causer des effets sur la fertilité et le développement du fœtus. »(2)

Une enquête de l’Autorité européenne de sécurité des aliments les suspecte même d’affecter notre système immunitaire.(3)

Des plaintes pour mise en danger de la vie d’autrui

Et pourtant, les autorités ne semblent pas pressées de lever le petit doigt.

Il aura fallu attendre la parution d’enquêtes dans les médias et la grogne de la population pour que les choses commencent à bouger (un peu).

Plusieurs collectivités, inquiètes des « concentrations alarmantes » en PFAS, ont ainsi porté plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ».(4)

Sous pression, certaines ARS décident enfin de mener des contrôles… et les résultats sont catastrophiques !

Dernier scandale en date : 166'000 personnes reçoivent de l’eau contaminée 

Le 15 janvier dernier, l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes a reconnu que l’eau de consommation de 166'000 habitants de la région étaient contaminée par les PSAS, à des taux supérieurs aux seuils limites européens. (5)

Vous pensez peut-être que les autorités de santé ont réagi immédiatement ?

Pas du tout.

À ce jour, la consommation de ces eaux n’est pas interdite… et les communes ont 3 ans pour se mettre en conformité.(6)

3 ans durant lesquels la population continuera de boire une eau contaminée au PFAS !

Et ce n’est malheureusement que la pointe de l’iceberg

Combien de personnes seraient concernées si toutes les ARS faisaient des contrôles similaires ?

100'000 molécules chimiques différentes polluent nos eaux… On en connaît à peine 0,5 % !

Selon le ministère de la santé, plus de 11,5 millions de Français ont reçu une eau non conforme en 2021. (7)

Cela représente 1 personne sur 6 !

Et ces chiffres seraient largement sous-estimés… (8)

En effet, il n’y a pas que les PSAS qui polluent nos eaux.

On peut citer (parmi d’autres) :

  • Les pesticides en tous genres, dont le chlorothalonil, un pesticide interdit depuis 2019 (9)
  • Les xénœstrogènes et autres résidus de médicaments
  • Les phtalates
  • Les bisphénols
  • Le dioxane, un solvant considéré comme « cancérigène possible » par le Centre international de recherche sur le cancer (10)
  • Les nanoparticules de plastique
  • Les métaux lourds
  • Des dérivés du pétrole
  • Et même des traces d’explosifs ! (11)

Et c’est sans compter tous les composés dont ne connaît pas encore les risques sur la santé et qui ne sont donc pas contrôlés.

Parmi les 100’000 molécules chimiques en circulation, on en connaît tout juste 500… soit à peine 0.5 % de tous les composés qui polluent notre environnement ! (12)

Il est donc impossible d’avoir une surveillance exhaustive de la qualité de l’eau.

« Il y a des PFAS et des métabolites de pesticides partout ! »

En septembre 2023, après une réunion secrète au ministère de la santé, le directeur de l’ARS Occitanie écrivait d’ailleurs le message suivant à ses cadres, dans un email interne révélé par le Canard Enchaîné :

« Il y a des PFAS et des métabolites [de pesticides] partoutEt, plus on va en chercher, plus on va en trouver. » (13)

Personne ne serait donc épargné !

Même les zones qui sont réputées pour leurs ressources de qualité seraient touchées.(14)

On l’a vu, cela concerne aussi les eaux minérales puisées en profondeur par les industriels.(15)

La situation est extrêmement inquiétante.

Nous ne pouvons pas rester les bras croisés.

C’est pourquoi j’ai lancé une grande pétition pour pousser les autorités de santé à agir au plus vite !

Des solutions existent, il faut les mettre en place de toute urgence… Pas seulement pour le bien de l’environnement, mais aussi pour notre santé, celle de nos enfants et des générations futures.

S’il-vous-plaît, signez et partagez massivement cette pétition !

Combien de scandales faudra-t-il encore pour que le gouvernement prenne ses responsabilités ?

Des scandales à répétition… Quand allons-nous enfin agir !?

Pour se rendre compte de l’ampleur de la catastrophe, iI suffit de passer en revue les dizaines de scandales parus ces deux dernières années :

  • Entre octobre 2020 et décembre 2022, l’ANSES teste l’eau de 300 sites en France. Elle détecte notamment la présence de résidus d’explosifs (datant de la première guerre mondiale), solvants et de nombreux pesticides (16)
  • Avril 2022 : la préfecture du Rhône reconnaît une contamination généralisée des sols et des eaux dans la région de Lyon.(17) Début 2023, on trouve même des taux de PFAS 8 à 16 fois supérieurs aux valeurs réglementaires. (18)
  • Juillet 2022 : La Rochelle est exposée à des niveaux de prosulfocarbe (un pesticide) dans l’environnement jamais vus en France, dix fois plus que la moyenne nationale !
  • Septembre 2022 : une vaste enquête du Monde révèle que 12 millions de Français (1 personne sur 5 !) auraient bu une eau non conforme en 2021, car contaminée par des pesticides à trop haute dose. (19)
  • Octobre 2022 : des associations d’Alsace déposent des recours : certains pesticides, notamment le S-métolachlore, dépasseraient les seuils de qualité dans l’eau depuis des années, sans qu’aucune mesure ne soit prise. Selon le président d'Alsace Nature : « Cela fait des années que des usagers consomment une eau non conforme ». (20)
  • Mai 2023 : des taux excessifs de chlorothalonil ont été détectés dans l’eau du robinet de deux tiers des habitants de la Vienne : plus de 300'000 personnes sont concernées. (21) L’eau dépasse les seuils légaux… Malgré tout, une dérogation de 3 ans a été délivrée pour continuer d’exploiter cette eau ! (22)
  • Juin 2023 : après une contamination massive par un résidu de fongicide interdit, plusieurs captages d’eau ont dû être fermés un peu partout en France (23)
  • Juillet 2023 : l’ANSES détecte la présence de 1,4-dioxane (cancérigène possible) dans les nappes phréatiques de neuf régions françaises. L’Île-de-France est particulièrement touchée. (24)
  • Novembre 2023 : la mairie de Paris reconnaît que l’eau de Paris comporte un taux de chlorothalonil cinq fois supérieur au seuil de qualité. Pourtant, les autorités affirment que l’eau est sûre !! (25)
  • L’eau d’un Français sur 3 pourrait dépasser les niveaux de toxicité en chlorothalonil selon études en cours. (26)
  • Etc.

Explosion des cancers en France ! Y-a-t-il un lien avec la pollution de l’eau ?

En 30 ans, le nombre de cancers a pratiquement doublé en France ! (27)

Rien qu’en 2023, il y aurait eu 433’136 nouveaux cancers selon l’institut national du cancer. (28)

Faut-il y voir un lien avec la hausse inquiétante des polluants dans l’eau potable ?

Impossible à dire, la survenue d’un cancer étant généralement liée à un ensemble de facteurs.

Mais selon Santé Publique France, entre 5 et 10 % des cancers seraient en lien avec des facteurs environnementaux. (29)

Par ailleurs, de nombreux polluants sont aujourd’hui fortement suspectés de favoriser la survenue de cancer :

  • Certains PFAS (notamment les PFOA) sont ainsi classés « cancérogènes pour les humains » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). (30)
  • Plusieurs pesticides ont également été classés comme « cancérogènes probables pour l’homme » par le CIRC, dont le glyphosate, le malathion et le diazinon. (31)
  • Si les effets du dioxane ne sont pas encore clairs chez l’homme, des études scientifiques ont cependant montré qu’il provoquait des cancers du foie et du nez chez les rats.(32) En attendant de plus amples recherches, il est classé comme « potentiellement cancérigène ».(33)
  • En 2022, une étude américaine du Centre de Cancérologie de l’Université du Vermont a conclu que l’exposition aux phtalates pourrait augmenter la survenue de certains cancers infantiles. (34)
  • La littérature scientifique des 25 dernières années indique que certains bisphénols augmenteraient la sensibilité de la glande mammaire aux hormones ovariennes et aux cancérigènes. (35)

4 fois plus de cancers infantiles dans certaines zones polluées par les pesticides

En octobre dernier, une étude menée par l’Inserm a fait trembler la communauté scientifique.

Elle a démontré que plus la densité de vignes (une culture très polluée par les pesticides) est importante autour du lieu d’habitation, plus le risque de développer une leucémie chez les enfants augmente.(36)

Et cela s’observe aussi sur le terrain !

Dans la commune de Saint-Rogatien (2 200 habitants), particulièrement touchée par la pollution aux pesticides, 6 enfants ont été victimes d’un cancer entre 2009 et 2018. (37)

En 2020, des recherches financées par la Ligue contre le cancer, ont estimé que le nombre de cancers pédiatriques dans ce village a été plus de quatre fois supérieur à la moyenne du département.

Certains médecins ont d’ailleurs commencé à élever la voix :

« Le gouvernement doit réagir. On ne peut pas continuer à mettre en danger la santé de la population en l’exposant à des pesticides dont on sait qu’ils peuvent avoir des effets cancérogènes à long terme. » (38)

Nous ne pouvons plus accepter cela.

Il faut forcer nos autorités à agir immédiatement pour une eau potable plus propre.

S’il-vous-plaît signez et partagez cette pétition à vos proches.

Si nous n’agissons pas maintenant, nous risquons de le payer cher.

La pollution est une bombe à retardement qui pourrait exploser dans les mains de nos enfants et petits-enfants !

Le « tour de passe-passe » pour rendre conforme nos eaux polluées (c’est révoltant !)

Quand les niveaux de pollution sont trop élevés…

Les autorités ont une bien curieuse façon de « régler » le problème.

Elles relèvent le seuil limite et, ni vu ni connu, l’eau redevient potable.

Un peu comme si vous mettiez un scotch sur le voyant orange de votre voiture pour ne pas avoir à aller chez le garagiste.

Ainsi, en septembre 2022, une vaste enquête du Monde et de France Inter révèle que l’eau de 12 millions de Français a été non conforme en 2021, notamment à cause de niveaux trop hauts d’esa-métolachlore, un pesticide utilisé notamment sur le maïs. (39)

L’ANSES s’empresse alors de réagir… mais pas comme on l’aurait espéré.

Elle revoit ainsi le seuil limite de l’esa-métolachlore de 0,1 µg/L à 0,9 µg/L.

Avec ce petit tour de passe-passe, près de 12 millions d’habitants ont ainsi retrouvé une eau conforme en moins de 24h !

En Bretagne, (40) particulièrement touchée par cette contamination, les communes dont l’eau est non conforme sont alors passées de 690 à… 17.

Merci à l’ANSES de veiller sur notre santé !

Le pire, c’est qu’on ignore actuellement tout de la dangerosité de cet herbicide sur la fertilité, le système hormonal et de son risque cancérigène. (41)

L’Agence européenne des produits chimiques est d’ailleurs encore en train d’évaluer le potentiel de perturbateur endocrinien de l’esa-métolachlore. (42)

Exit donc le principe de précaution !

Les seuils limites, seulement là pour « faire joli » ??

Et ce n’est pas tout…

Nos autorités n’hésitent pas à prendre d’autres libertés avec les seuils limites, quand ça les arrange :

  • En 2023, on détecte une contamination massive au chlorothalonil dans les eaux de la Vienne, dépassant parfois de 20 à 75 fois la limite de qualité. En septembre, les autorités conviennent alors d’un arrêté qui leur permet de continuer d’exploiter pendant encore 3 ans des eaux qui dépassent les seuils de qualité. (43)
  • Pour les PFAS, la limite de qualité est fixée à 0,1 µg/L, soit un seuil 5000 fois plus élevé que celui recommandé depuis juin 2022 par l’Agence américaine de protection de l’environnement. (44)
  • Il n'existe pas de seuil sanitaire en France pour le dioxane qui, rappelons-le, est considéré comme « cancérigène possible » (45)… contrairement à d’autres pays : en Allemagne, la limite est par exemple fixée à 0,1 µg/L. (45) Pour comparer, la concentration de dioxane a atteint 4,8 µg/L dans les Yvelines ! (47)
  • Pour calculer la Vmax, la norme sanitaire qui indique des taux potentiellement dangereux pour la santé, l’ANSES doit s’appuyer sur des études scientifiques. Problème : la plupart du temps, ces études n’existent pas ou sont trop lacunaires pour permettre d’établir un seuil limite. (48) Pour le S-métolachlore par exemple, la Vmax se base sur une étude industrielle datant de 1999 et conduite sur une poignée de chiens. (49)
  • Pire encore : c’est aux industriels de mener des études scientifiques sur la sécurité de leurs pesticides, qui servent ensuite à déterminer les Vmax. On peut donc se demander s’il n’y a pas un risque de conflits d’intérêt sur les résultats de ces études…

Vous le voyez, nos autorités de santé ne semblent pas prendre au sérieux la pollution massive de l’eau potable en France.

Si nous voulons éviter un scandale à grande échelle, c’est à nous de faire entendre notre voix.

Eau en bouteille : le GROS problème qui n’a pas fait la une des journaux

Et si vous pensez qu’il vaut mieux se tourner vers l’eau en bouteille, détrompez-vous ! 

Tout le monde a parlé des systèmes de filtration interdits utilisés par certains industriels. (50)

Mais on a moins parlé d’un danger beaucoup plus grave.

La contamination des eaux en bouteilles en nanoparticules de plastique !

Une étude publiée début janvier dans la revue PNAS a fait l’effet d’une bombe. (51)

Des chercheurs ont découvert que l’eau des bouteilles en plastique contenait 100 fois plus de nanoparticules de plastique que ce qui avait été mesuré jusque-là !

Dans une banale bouteille d’un litre, il n’y aurait ainsi pas moins de… 240'000 fragments de plastiques !

Parmi ceux-ci, 90 % seraient de nanoplastiques.

Problème : celles-ci sont si petites qu’elles peuvent entrer dans le sang et dans les organes, dont le cerveau et le cœur. (52)

Les risques pour la santé sont encore mal connus, mais des études en laboratoire évoquent des effets nocifs notamment sur le métabolisme, le développement cérébral, le matériel génétique, la flore intestinale ou encore la respiration cellulaire. (53)

L’eau en bouteille n’est donc pas forcément une alternative plus saine que l’eau du robinet.

Il reste évidemment l’eau en bouteille de verre, mais celle-ci est rare et souvent très chère.

Signez pour un accès à une eau potable propre !

L’État doit prendre ses responsabilités.

Il doit prendre des mesures rapides et radicales pour surveiller la qualité de l’eau du robinet et proposer des systèmes de filtration efficaces.

Des solutions existent, comme la filtration au charbon, qui a été utilisée avec succès dans certains captages pour purifier des eaux contaminées, notamment au chlorothalonil. (54)

C’est pourquoi nous demandons au gouvernement de prendre des mesures immédiates pour :

  • Revoir les seuils limites des polluants de qualité de façon plus stricte, en se basant sur les données scientifiques et les réglementations déjà en vigueur dans d’autres pays
  • Agir selon le principe de précaution lorsque les données sur un polluant sont insuffisantes
  • Mettre en place un système de surveillance accrue de la qualité des eaux sur tout le territoire français
  • Analyser systématiquement la présence dans les eaux de nouvelles molécules chimiques dont la toxicité est suspectée
  • Quand cela est nécessaire, installer des filtres à charbon efficaces dans les stations de captage pour éliminer les polluants de l’eau avant qu’elle soit distribuée dans les ménages.

Si nous voulons mettre fin à ce qui est peut-être l’un des plus graves scandales sanitaires du siècle, c’est maintenant qu’il faut agir.

En signant cette pétition, vous prenez votre responsabilité de citoyen. Vous faites votre possible pour le bien de notre santé, celle de nos enfants, petits-enfants et de toutes les générations futures.

Un grand merci pour votre aide !

Je suis convaincu, qu’ensemble, nous pouvons rendre le monde meilleur.

Amicalement,

Florent Cavaler


P.S. cette pétition s’appuie sur des faits avérés et, pour la plupart, relayés dans la presse. Elle s’appuie sur plus de 50 sources et références que tout le monde peut consulter.

Notre gouvernement ne peut donc pas nier l’évidence de ce grave problème sanitaire. Si nous lui mettons ces vérités devant les yeux, avec votre soutien et celle de centaines de milliers d’autres citoyens, il sera obligé de reconnaître l’urgence de la situation et devra agir au plus vite.

Partagez massivement cette pétition autour de vous. C’est notre seule chance de nous faire entendre ! Un grand merci à vous !

Auteur : Florent Cavaler

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