Prochainement, nos ustensiles de cuisines, plats à tarte, poêles et casseroles pourront être fabriqués à base de métaux "faiblement radioactifs" issus de l'industrie nucléaire. Ils seront vendus en supermarchés et autres quincailleries, nos cuisines et nos boutiques "faiblement radioactives" en plus. L'incidence sera faible nous dit-t'on car les seuils ne dépasseront pas celle de la radioactivité naturelle.

Faudra le compteur GEIGER pour faire ses courses.

Mais que devient cette radioactivité naturelle, est-t'elle ré-haussée par celle de nos fuites pas si naturelle que ça ?

- Depuis 1944, la radioactivité de la planète ne cesse de croître, expériences atomiques, rejets dans les océans, accidents nucléaire de Three Mile Island, Tchernobyl, Fukushima, avec une pollution du site Tricastin et au Tritium dernièrement dans certaines eaux du robinet de France.

On sait combien le cancer fait de ravage dans nos sociétés industrielles, or plusieurs organes humains qui n'étaient pas touchés par les tumeurs, le sont devenus, citons par exemple la thyroïde depuis Tchernobyl.

- De plus on ne connaît pas les conséquences d'être exposé à de faibles rayonnements ionisants cumulés aux autres pollutions, (dioxine, métaux lourds, pesticides, médicaments, arômes chimiques et colorant..) .
L'exposition quotidienne dans nos propres cuisines à ces "faibles doses de rayonnement" fait prendre un risque de plus sur la santé de la population déjà fragilisée par la crise du covid.

Il est prévisible que ces ustensiles de cuisine s'ajouteront à tous les déchets que nous produisons, pas sous nos yeux, mais à l'autre bout de la planète, pour finir dans nos assiettes, relâché dans l'environnement. Décidément face au monde moderne du XXIème siècle, le docteur Frankenstein devient innocent.

Laisser la maison propre comme nous l'avons trouvée à notre naissance doit être la seule règle à adopter.

L'heure est venue de nettoyer, pas de souiller encore plus l'unique maison qui nous fait vivre.