Neuf Français sur dix consomment du poisson régulièrement, pensant faire un choix sain. Pourtant, le saumon, l’un des poissons les plus consommés en France, serait contaminé par un métal lourd hautement toxique : le mercure¹.

Reconnu pour ses effets neurotoxiques, il s’accumule dans nos organismes et pourrait causer des troubles neurologiques, des maladies cardiovasculaires et même certains cancers². 

Malgré cela, aucune mesure stricte n’est prise pour protéger les consommateurs.

Pourquoi la France continue-t-elle d’autoriser la vente de saumon potentiellement contaminé, alors que des pays comme l’Allemagne et l’Italie imposent des normes plus strictes³ ? Nous devons agir pour exiger des contrôles rigoureux et une transparence totale !

1. Du mercure dans nos assiettes ?

Le mercure est un métal lourd qui se retrouve dans l’eau à cause de la pollution industrielle et s’accumule dans la chair des poissons⁴. Plus un poisson est haut dans la chaîne alimentaire, plus il peut en concentrer.

Or, le saumon est l’un des poissons les plus contaminés⁵. Qu’il soit d’élevage ou sauvage, il est exposé à des niveaux préoccupants de méthylmercure, une forme particulièrement toxique de ce métal.

L’Organisation Mondiale de la Santé a mis en évidence que même de faibles quantités de mercure peuvent provoquer des troubles graves :

• Chez les enfants et les nourrissons : impact sur le développement du cerveau, troubles de l’attention et du comportement⁶.
• Chez les adultes : atteintes du système nerveux, fatigue chronique, pertes de mémoire et troubles cardiovasculaires⁷.
• Un risque accru de certains cancers, notamment digestifs et neurologiques⁸.

Devons-nous vraiment continuer à manger du saumon en fermant les yeux sur ces dangers ?

2. Des normes de sécurité insuffisantes ?

L’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire (EFSA) fixe une limite maximale de mercure dans les poissons. Mais plusieurs études montrent que le saumon vendu en supermarché dépasse parfois ces seuils de sécurité⁹.

En 2023, une enquête a révélé que le saumon d’élevage contenait jusqu’à 1,5 fois plus de mercure que les limites recommandées¹⁰. Pourtant, aucune mesure stricte n’est imposée pour interdire ces produits du marché.

Pourquoi continue-t-on à autoriser la consommation de poissons contaminés ? Les intérêts économiques passeraient-ils avant notre santé ?

👉 Nous devons exiger des contrôles plus stricts et une interdiction des poissons présentant des niveaux de mercure dangereux !

3. Une inaction scandaleuse des autorités sanitaires

Depuis des années, les scientifiques alertent sur les dangers du mercure dans notre alimentation. Pourtant, les gouvernements tardent à agir.

• L’EFSA et l’OMS reconnaissent que le mercure est un danger majeur pour la santé publique, mais aucune mesure radicale n’est mise en place¹¹.
• Les industriels du poisson continuent à vendre du saumon sans information claire sur les niveaux de contamination.
• Les consommateurs sont laissés dans l’ignorance, alors qu’ils devraient pouvoir faire des choix alimentaires éclairés.

Pourquoi aucune obligation d’étiquetage spécifique n’est imposée ? Pourquoi ne met-on pas en place des tests systématiques pour protéger les familles ?

Nous devons imposer des règles strictes pour protéger notre santé et celle de nos enfants !

4. Des alternatives existent, mais elles ne sont pas mises en avant

Il est possible de consommer des poissons avec moins de risques de contamination. Certains poissons comme la sardine, le maquereau ou le hareng contiennent moins de mercure, mais les recommandations restent floues et les consommateurs ne sont pas informés.

Nous devons exiger :

• Un étiquetage clair sur la teneur en mercure des poissons vendus.
• Des recommandations officielles pour privilégier les poissons les moins contaminés.
• Une promotion des alternatives alimentaires plus sûres et durables.

Pourquoi laisse-t-on les consommateurs seuls face à ces risques, alors que des solutions existent ?

Nous demandons des mesures immédiates !

• L’interdiction du saumon et autres poissons contenant des niveaux dangereux de mercure.
• Des contrôles rigoureux et systématiques pour garantir la sécurité alimentaire.
• Une transparence totale avec un étiquetage précisant la teneur en mercure des poissons vendus.
• La promotion d’alternatives plus sûres, pour protéger la santé publique.

Nous ne pouvons plus accepter que nos familles consomment du saumon sans en être informées ! Il est temps d’agir !