Des études non fiables1, non indépendantes2, une utilité non avérée3, des expériences internationales non concluantes4,5,

M. MACRON Vous ne pouvez pas rendre obligatoire le vaccin contre le papillomavirus

Destinataire(s) : M. Emmanuel Macron, Président de la République et Aurélien Rousseau, Ministre de la Santé
M. MACRON Vous ne pouvez pas rendre obligatoire le vaccin contre le papillomavirus

Papillomavirus : il faut dire STOP à la vaccination de masse !

Cette fois c’est parti.

La grande campagne de lutte contre le papillomavirus est lancée.

Depuis le début du mois d’octobre, la vaccination généralisée des élèves de 5ème a commencé. 

Pyrénées1, Creuse2, Île-de France3, Ardèche4,... Les collèges se transforment les uns après les autres en vaccinodromes.

Avec un objectif de 30% d’élèves vaccinés à la fin de cette première campagne.5

Mais si la vaccination contre le papillomavirus n’est que “fortement recommandée” et soumise au consentement des parents pour le moment, les autorités sanitaires ne devraient pas tarder à la rendre obligatoire.

En effet, si les objectifs de vaccination ne sont pas atteints, il est fort probable qu’une proposition de loi arrive sur la table du président Macron dès 2024…

Le vaccin contre le papillomavirus pourrait alors devenir le 12ème vaccin obligatoire en France… 

… Malgré le manque flagrant de preuves fiables6 et indépendantes7 de son efficacité.

… Malgré les nombreux doutes exprimés sur son utilité8.

… Malgré des expériences internationales similaires non concluantes9,10.

C’est pourquoi nous devons nous mobiliser sans plus attendre et faire entendre notre voix ! 

NON à la vaccination de masse de nos enfants. Il n’existe aucune certitude que ces vaccins soient UTILES, EFFICACES et SANS DANGER.

Les vaccins anti-HPV - nom générique des vaccins contre le papillomavirus - sont controversés depuis leur mise sur le marché il y a 15 ans : 

  • AUCUNE ÉTUDEne prouve de façon fiable que les vaccins anti-HPV sont efficaces contre le cancer du col de l’utérus.11 
  • Le cancer du col de l’utérus se déclare en général vers 45-50 ans, il faudrait des dizaines d’années d’étude clinique pour vérifier si le vaccin administré à des adolescents pourrait avoir un impact ou non des décennies plus tard. C’est donc impossible d’établir avec un bon degré de certitude que les vaccins anti-HPV peuvent prévenir du cancer du col de l’utérus. 
  • AUCUNE ÉTUDEne prouve que ce vaccin n’a pas de graves effets indésirables.12 
  • Au contraire ! Sclérose en plaques, lupus, infection du système nerveux, syndrome de Guillain-Barré, thromboses13... la liste des plaintes déposées auprès de la pharmaco-vigilance14 est longue !15,16
  • L’intégrité des essais cliniques est suspecte...17 
  • Les effets cliniques n’ont pas été réalisés de façon indépendante. Les études étaient supervisées par les industriels eux-mêmes, et la plupart des chercheurs qui ont cautionné l’étude sont liés financièrement aux industriels. Nous nageons en pleine situation de conflit d’intérêt !

Entre les effets indésirables, le manque de transparence, les conflits d’intérêts et l’incertitude quant à l’efficacité des vaccins pour prévenir le cancer du col de l'utérus, il est urgent d’agir. 

Le rapport bénéfice-risque de ce vaccin est catastrophique.

Nous ne pouvons pas accepter que les autorités sanitaires rendent obligatoire un vaccin pour lequel l’efficacité et l'innocuité ne se basent sur AUCUNE étude fiable. 

N‘attendons pas ! Nous devons agir ensemble pour dire NON à cette obligation vaccinale !

FACE AUX NOMBREUSES ZONES D’OMBRE AUTOUR DU VACCIN ANTI-HPV, NOUS DEVONS APPLIQUER LE PRINCIPE DE PRUDENCE ET REFUSER LA VACCINATION DE MASSE

P.S.: Si vous n’avez pas encore lu la pétition, vous pouvez en prendre connaissance ci-dessous :


Se dirige-t-on vers un nouveau vaccin obligatoire en France ?

En décembre dernier, le Président de la République Emmanuel Macron a clairement ouvert la porte à une vaccination obligatoire contre les infections à papillomavirus humains (HPV)[6].

Les infections à papillomavirus humains sont à l’origine de cancers, notamment celui du col de l’utérus chez les femmes. 

Une mesure d’obligation concernerait bien entendu les femmes mais aussi les hommes, ces derniers pouvant transmettre le virus à leur partenaire.

Or, ce vaccin est très controversé depuis sa mise sur le marché il y a 15 ans car…

AUCUNE ÉTUDE ne prouve de façon fiable que les vaccins anti-HPV sont efficaces contre le cancer du col de l’utérus.[7]

AUCUNE ÉTUDE ne prouve que ce vaccin n’a pas de graves effets indésirables.[8] 

Je vous rappelle qu’avant tout lancement de produit de santé il est indispensable d’établir une balance “Bénéfices - Risques” du produit (que ce soit un médicament ou un vaccin).

Dans le cas des vaccins anti-HPV cette balance est tout simplement impossible à déterminer. Je vous explique pourquoi dans quelques lignes.

Dans ces conditions, il serait irresponsable de rendre obligatoire cette nouvelle vaccination.

Mais, malgré les incertitudes qui pèsent sur ce vaccin et le manque de preuves quant à son utilité réelle, la vaccination anti-HPV est poussée mordicus par les hommes politiques, les autorités sanitaires et bien sûr les laboratoires.

Si l’on ne fait rien elle risque de devenir le 12ème vaccin obligatoire en France. 

Des essais cliniques qui ne sont pas fiables

En France, 3 000 femmes sont touchées chaque année par un cancer du col de l’utérus, pour 1000 décès.[9] 

La stratégie des autorités sanitaires pour faire diminuer ces chiffres, consiste à vacciner massivement les adolescents.

Cette stratégie pose de grandes difficultés.

Pour que vous me compreniez bien, je me permets ici de rappeler les conditions nécessaires pour déterminer l’efficacité et l’innocuité d’un vaccin (ou d’un médicament).

Les essais cliniques doivent être menés en double aveugles. 

On constitue deux groupes de patients de façon aléatoire. 

Chaque patient reçoit un produit : soit le vaccin, soit une substance sans effet ou inerte (un placebo). Personne ne peut et ne doit savoir ce que le patient a reçu. Ni le patient, ni même le médecin ou l’infirmier qui lui a administré le produit afin d’éviter tout biais.[10] Ensuite les scientifiques font un suivi rigoureux de chacun des sujets de l’étude pour analyser les effets indésirables potentiels et l’apparition ou non de la maladie que le vaccin est censé prévenir.

Maintenant, voici pourquoi les essais cliniques ne sont pas fiables dans le cas des vaccins anti-HPV : 

Premier problème : de gros doutes sur le respect du double aveugle.

En effet, les essais cliniques n’ont pas été réalisés par des experts indépendants. Le processus de test était organisé et contrôlé par les employés des industriels, autrement dit ceux qui commercialisent les vaccins.[11] 

Il y a donc de gros doutes quant au respect de la méthode des essais cliniques.[12]

Deuxième problème : il est impossible de mener un essai clinique sur une longue période comme cela serait nécessaire avec le HPV

Il faut savoir que le cancer du col de l’utérus se déclenche en moyenne à l’âge de 45 ans.[13]

Les autorités sanitaires vaccinent des jeunes filles et des jeunes garçons de… 12 ou 13 ans.

Dans le cas du vaccin anti-HPV les essais cliniques devraient être menés sur une très longue période (minimum 15 à 20 ans). On cherche en effet à savoir si l’inoculation d’un produit adolescent permet de prévenir l’apparition d’un cancer quand on est un adulte de 45 ou 50 ans.

Or, pendant une si longue période, les jeunes filles sont devenues des femmes adultes, et rien ne garantit que les deux groupes testés (vaccinées contre placebo) restent comparables.

Les sujets vont adopter des comportements très différents : pratiques sexuelles, méthodes de contraception, mode de vie… Autant de paramètres impossibles à contrôler sur plusieurs années mais qui sont déterminants dans l’apparition d’un cancer du col de l’utérus.[14]

Il est impossible de mener un essai clinique rigoureux sur autant d’années.

Il est donc impossible d’établir avec un bon degré de certitude que les vaccins anti-HPV peuvent prévenir du col de l’utérus.[15] 

Troisième problème : pour des questions éthiques, si un cancer est suspecté pendant l’essai, on ne peut pas ne pas traiter des femmes. C’est bien naturel mais reste problématique pour mesurer l’efficacité du vaccin.

Si une participante à l’étude présente des lésions précancéreuses pendant les nombreuses années de l’essai clinique, elle sera bien sûr traitée pour éviter que ses lésions ne se transforment en cancer invasif.[16] 

Dès lors, dans ce type d’essai clinique, les patients présentent très peu de cancer invasif. 

Comment savoir si l’absence de cancer invasif est dû aux traitements précoces reçus ou au vaccin lui-même ? C’est tout simplement impossible de conclure !

Officiellement, le Ministre de la Santé déclare attendre l’avis des Autorités de Santé avant de lancer un projet de loi.

Il n’y a aucun doute que ces Autorités diront ce que le Gouvernement (et les laboratoires) veulent entendre…

Et qu’ils imposeront cette nouvelle vaccination sans tenir compte du faible niveau de preuve d’efficacité des vaccins anti-HPV.

Il n’y a qu’une mobilisation citoyenne qui puisse faire entendre raison au Gouvernement. 

C’est pourquoi je vous demande de signer maintenant cette pétition : 

Cette pétition n’est pas “anti-vax” comme le Gouvernement et les médias conventionnels tenteront de la qualifier probablement.

Nous n’avons aucune opposition anti-vaccinale de principe. 

Mais nous avons vu que les méthodes utilisées pour tester ces vaccins anti-HPV ont des défauts majeurs.

Maintenant analysons leur degré de sécurité : sont-ils inoffensifs ?

De nombreux médecins et épidémiologistes tirent la sonnette d’alarme… Ils craignent que ces produits puissent être à l’origine de graves effets indésirables.[17][18]

Des effets indésirables cachés par les industriels ?

Pour les industriels et les autorités sanitaires, c’est très clair : les effets indésirables sont rares, minimes et négligeables. 

“Circulez il n’y a rien à voir !” nous dit-on (comme on le répétait aussi au début de la vaccination anti-Covid)

Mais malheureusement quand on leur demande les résultats détaillés des essais cliniques et tout particulièrement ceux des effets secondaires remontés par les patients, ils répondent que “cela relève du secret industriel !”[19][20]

Il est impossible d’avoir accès aux rapports complets des données brutes des essais cliniques.[21]

Il faudrait donc croire sur parole les laboratoires pharmaceutiques…

Pourtant la liste des plaintes déposées auprès de la pharmaco-vigilance à cause des effets indésirables[22] est longue comme le bras[23][24] :  

  • Sclérose en plaques
  • Lupus
  • Infection du système nerveux
  • Syndrome de Guillain-Barré

Et ce n’est pas tout. 

Quand on se penche en détail sur les essais cliniques, on a l’impression que des manœuvres ont été menées pour masquer les potentiels effets secondaires du produit.

Je m’explique.

Tout produit de santé doit être testé contre un placebo. Habituellement on utilise une solution saline (de l’eau salée). Autrement dit une solution sans aucun effet thérapeutique (ou nocif).

Contre quel placebo a été utilisé le vaccin anti-HPV ?

… de l’aluminium !![25] 

Autrement dit, on teste un produit contre une substance, l’aluminium, qui peut elle-même être source d’effets indésirables ![26]

Chapeau l’artiste !

A la fin des tests, les industriels clament sur tous les toits que leur produit n’est pas dangereux… 

La conclusion devrait plutôt être qu’il n’est pas plus dangereux que… l’aluminium !

Mais il y a encore autre chose qui jette le doute sur le vaccin anti-HPV.

Les essais cliniques des vaccins anti-HPV n’ont pas été testés de façon indépendante.

  • Les études ont été supervisées par les industriels eux-mêmes.[27]
  • Les employés du laboratoire étaient présents lors des études.
  • La plupart des chercheurs qui ont cautionné l’étude (censés être les garants scientifiques) sont liés financièrement aux industriels.[28] 

 

Nous nageons en pleine situation de conflit d’intérêt !

Malgré ces doutes, le Ministre de la Santé semble décidé à rendre cette nouvelle injection obligatoire.

Il attend, soi-disant, le feu vert des Autorités de Santé, posture hypocrite s’il en est, car tout le monde sait que ces Autorités brillent davantage par leur soumission à la doxa vaccinale plutôt que par leur respect de la science. 

Il y a par ailleurs un autre point qui mérite de plus amples investigations. 

Certains médecins indépendants pensent que les vaccins anti-HPV augmentent le risque de cancer du col de l’utérus…[29][30][31]

  • Ils diminueraient l’immunité de jeunes filles déjà infectées lors de la vaccination
  • Ils favoriseraient la diffusion de souches plus virulentes du papillomavirus

C’est un comble !

C’est une information qui n’est pas à prendre à la légère.

Si l’on regarde les chiffres de l’Australie, un pays qui vaccine en masse, les courbes font froid dans le dos  : 

Depuis 2006 et le début de la vaccination de masse en Australie, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus ne diminue plus…

Alors qu’entre 1987 et 2006, AVANT le début de la vaccination, cette même incidence avait diminué de plus de 50%.[32]

On peut d’ailleurs voir sur le deuxième graphique que le nombre annuel de cancers invasifs augmente depuis le début de la vaccination de masse… Mais qu’en sera-t-il quand toutes les personnes vaccinées atteindront 45-50 ans ?[33]

Et c’est loin d’être le seul exemple. Dans les pays où la vaccination anti-HPV se fait en masse on observe la même chose : 

  • En Angleterre la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs[34],
  • En Suède, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination[35],
  • En Norvège, l’incidence des cancers invasifs n’a pas diminué depuis la vaccination[36].

Malgré ces chiffres, ces incohérences, et sans parler de qu’on nous cache…

…Les autorités sanitaires en France parlent de plus en plus d’obligation vaccinale !

Il est urgent d’agir

Entre les effets indésirables, le manque de transparence, les conflits d’intérêts et la probable non efficacité des vaccins, il est urgent d’agir. 

Nous ne pouvons pas accepter que les autorités sanitaires rendent obligatoire un vaccin pour lequel l’efficacité et l'innocuité ne se basent sur AUCUNE étude fiable

En attendant un vaccin vraiment fiable, d'autres solutions efficaces peuvent être mises en place.

Sur les 3 000 cancers du col de l’utérus chaque année en France, des centaines pourraient être évités en mettant l’accent sur l’information, la prévention, et le dépistage par frottis.

D’ailleurs en France, entre 1990 et 2007 l’incidence du cancer de l’utérus diminue de 40%, alors que la mortalité due à ce cancer diminue de 37% (chiffres de Santé Publique France).[37][38]

Il n’y a pas eu de vaccination obligatoire pour que ces évolutions positives s'enclenchent.

Comment a-t-on fait ? L’Etat avait organisé une campagne de dépistage, mené des campagnes de communication, remboursé une visite gynécologique tous les 3 ans pour faire un frottis (qui est le test de référence pour détecter des lésions précancéreuses ou cancéreuses du col de l’utérus).

Ces succès remarquables ont été enregistrés avec un taux de dépistage relativement modeste de 59 %.[39]

Imaginez les progrès que nous pourrions faire si l’Etat se fixait d’atteindre un taux de dépistage de 80 % !

Nos autorités sanitaires préfèrent se reposer sur la vaccination de masse et faire confiance aux études biaisées des laboratoires, réalisées par des chercheurs financés par l’industrie des vaccins.[40]

Si nous ne réagissons pas nos politiciens acquis au tout vaccinal renouvelleront les mêmes erreurs commises pendant la pandémie de Covid.

Plutôt que de miser sur l’immense réseau de médecins et de professionnels de santé, on mise sur une “dose miracle” pour se débarrasser d'un problème de santé. 

N‘attendons pas ! Nous devons agir ensemble pour dire NON à cette obligation vaccinale et dire OUI à plus de prévention, plus de dépistage !

Je compte sur vous.

Auteur : L'équipe de rédaction de Santé Non Censurée

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