Des poisons cachés dans votre jardin !

Alors que le gouvernement français fait machine arrière sur l’interdiction des néonicotinoïdes… (1)

Il y a plus que jamais urgence !

Car les néonicotinoïdes n’ont pas seulement envahi nos champs et exploitations agricoles, nos supermarchés, nos frigos, nos assiettes… (2)

Les plantes de nos jardins et balcons AUSSI tuent les abeilles (3) !

Sur nos balcons, dans nos jardinières et dans les vases de notre cuisine… les pesticides meurtriers sont partout.

C’est le dramatique constat d’une nouvelle étude parue dans le journal scientifique The Royal Society Publishing, en juillet dernier (4).

80% des fleurs du commerce sont contaminées

Lavandes, hortensias, campanules, jacinthes…

Toutes sont de véritables concentrés de pesticides hautement toxiques pour la biodiversité (3) :

• Un dahlia, c’est 4 pesticides différents.
• Pour une verveine, on monte à 6…
• Une seule plante peut même contenir plus de 10 produits chimiques différents (3) !

Chlorpyrifos, clothianidin, cypermethrin, deltamethrin, imidacloprid, thiamethoxam (4)…

On trouve de tout, y compris des substances interdites en Europe, et plus de 10 pesticides sur liste noire (4) !

Et tout ça pour quoi ?

Pour du marketing.

Pour garantir la « beauté » de ces fleurs, et donc les ventes des jardineries.

Personne n’en parle.

Personne ne réagit.

Et pourtant…

Ce n’est pas nouveau : déjà, en 2014, GreenPeace Suisse tirait la sonnette d’alarme (5).

En 2017, même constat : des chercheurs britanniques ont révélé que 70% des plantes d’ornement contenaient des néonicotinoïdes, du chlorpyrifos et des pyrethrinoïdes (6).

Tous les jardins d’Europe sont concernés par cette pollution cachée et meurtrière.

Mais depuis 2014, toujours rien.

Dans nos serres, on continue d’asperger les lavandes, roses et pivoines de substances chimiques controversées… en toute légalité.

Nous sommes tous complices du génocide des abeilles !

Et nous, consommateurs et jardiniers, nous tombons dans le panneau.

Nous devenons complices de cet écocide à notre insu !

Pire encore : nous achetons en toute bonne conscience, car nous pensons participer à la sauvegarde de la biodiversité.

Abeilles, coccinelles, papillons… tous ces insectes indispensables à notre chaîne alimentaire... (7)

En réalité, nous leurs offrons des fleurs empoisonnées !

Des plantes qui les tuent à petit feu.

Des plantes botoxées jusqu’aux racines, qui les rendent dépendant, perturbent leur système nerveux et les tuent à petit feu (8).

Il est urgent d’agir avant qu’il ne soit trop tard

C’est complètement absurde : à quoi bon interdire ces pesticides meurtriers dans l’agriculture, si c’est pour les retrouver chez soi, dans son jardin, dans le vase de sa cuisine, sur son balcon ?

Exigeons l’interdiction totale et définitive de ces pesticides tueurs d’abeilles.

Pas seulement dans nos champs, mais AUSSI dans nos jardins.

Étendons dès maintenant cette interdiction aux plantes à fleurs et d’ornement.

Pour qu’enfin nous ne nous fassions plus avoir par ces plantes botoxées en magasin.

Pour qu’enfin nous ne tuions plus les abeilles et pollinisateurs de nos jardins.

Dites STOP maintenant

Si vous aussi, vous voulez en finir avec ces pesticides cachés dans les fleurs de votre balcon, de votre cuisine, de votre jardin, signez cette pétition dès maintenant.