NON AU NOUVEAU TRAITEMENT CONTRE LA BRONCHIOLITE

Destinataire(s) : Catherine Vautrin Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
NON AU NOUVEAU TRAITEMENT CONTRE LA BRONCHIOLITE

La santé de nos enfants est peut-être en jeu, appliquons le principe de prudence


NON AU NOUVEAU TRAITEMENT[1] CONTRE LA BRONCHIOLITE

Que feriez-vous pour protéger la santé d’un bébé ?

On ne devrait JAMAIS avoir à répondre à cette question.

Et pourtant aujourd’hui, je dois malheureusement la poser…

Je viens en effet de tomber sur des révélations inquiétantes[2] au sujet du nouveau traitement censé prévenir les formes graves de la bronchiolite chez les nourrissons.

La bronchiolite est une infection des poumons qui toucherait en moyenne 30% des enfants de moins de 2 ans en France. Et ce ne sont que 2 à 3% des enfants en-dessous d'une année qui termineraient en hospitalisation.[3]

Le gouvernement l’admet lui-même : c’est une maladie bénigne “qui guérit spontanément”[4] dans la majorité des cas.

En 2009, la mortalité chez les moins de 1 an avait été de 0.0026% (environ 20 morts par an).[5]

Malgré tout, le gouvernement souhaite que ce nouveau “médicament” soit inoculé à TOUS les nouveau-nés en maternité et ce, CHAQUE HIVER.[6],[7] Autrement dit, un 12ème vaccin aux 11 déjà obligatoires pour les nourrissons jusqu’à 12 mois.[8]

Pourquoi le gouvernement serait-il si pressé[9],[10] de diffuser ce nouveau “médicament” dont on ne sait presque rien ?

Voici les 3 principales raisons mises en avant par les Autorités et les labos pour inciter les parents d’accepter ce nouveau traitement anti-bronchiolite.

Trois raisons contre lesquelles des observateurs critiques comme moi ont de très lourdes objections.


  • PRETENDUE RAISON n°1 Désengorger les services de pédiatrie pour éviter la reproduction de la crise de 2022[11]

Incohérent ! C’est incohérent parce que d’une part les hospitalisations dues à la bronchiolite sont rares (env. 3%).[12] De plus, c’est incohérent car dans son avis sur ce nouveau traitement, la Haute Autorité de Santé (HAS) considère qu’il n’aiderait pas à réduire le nombre d’hospitalisation.[13]

C’est incohérent aussi parce que le Ministère de la Santé n’aurait pas acheté assez de doses pour espérer atteindre cet objectif. En effet, ses recommandations étaient de 200’000 doses pour l’hiver 2023-2024[14], alors que l’on compte 680’000 nouveau-nés[15],[16]. Si l’État espère une action sur la saturation des hôpitaux, il semble s’arrêter au milieu du chemin pour que cela se produise.


  • PRETENDUE RAISON n°2 Remplacer le traitement classique qui serait moins efficace[17]

Douteux ! Le palivizumab (le traitement actuel) a fait ses preuves dans la prévention de la bronchiolite.[18] Certes, les études américaines avancent une efficacité de 80% du nouveau traitement contre 65% pour le palivizumab. Mais la Commission de Transparence de la Haute Autorité de Santé (HAS) a conclu que cette statistique n’est pas digne de confiance.[19] La HAS reconnaît aussi que ce traitement n’aurait pas prouvé son efficacité[20] et ne présenterait aucun avantage médical par rapport au traitement existant.[21]


  • PRETENDUE RAISON n°3 Remplacer le traitement classique car ce traitement serait moins risqué[22]

Faux ! Parmi les trois études cliniques sur lesquelles se basent l’autorisation du nouveau médicament, l’une d’elles[23] a conclu à des effets secondaires graves et 3 décès dans le groupe traité avec ce nouveau produit contre… 0 dans le groupe placebo (c’est-à-dire sans traitement actif) !

Au total, la Food and Drug Administration (FDA) (l’agence américaine de santé) signale, elle, 15 décès lors des essais : 12 dans les groupes traités (0,32%) et 3 dans les groupes placebo (0,16%)[24]. Pourquoi préférer ce nouveau traitement au placebo qui montre de meilleurs résultats ? C’est incompréhensible.

La règle absolue avant l’introduction de toute nouvelle thérapie est le rapport risques/bénéfices.[25]

Or ce nouveau traitement aurait causé statistiquement plus de morts en trois essais (15 décès sur 4500 cas) que la bronchiolite en une année en France (2,6 décès sur 100’000 cas).

Dans un monde cohérent, jamais un tel traitement n’aurait dû être autorisé !

C’est pour ça que j’ai besoin de vous. Pour mettre un peu de bon sens dans cette histoire de fous. Pour accomplir ce devoir qui ne l’est pas toujours par nos dirigeants : assurer la santé de nos enfants.


Malgré ces données inquiétantes, ce traitement serait déjà prescrit à travers tout le pays depuis septembre 2023 !

Or la statisticienne Christine Mackoi, experte chevronnée dans l'analyse des chiffres officiels relatifs à la mortalité infantile et néonatale, signale une augmentation significative du taux de mortalité chez les nourrissons âgés entre 2 et 6 jours.

Voici le graphique auquel elle est arrivée[26] :

Cette augmentation dépasse les prévisions habituelles : 54 décès en septembre 2023 (au-delà de la fourchette attendue entre 26 et 50 décès), 61 décès en octobre (bien au-delà de la fourchette prévue entre 28 et 52 décès).

2 mois consécutifs avec des taux de mortalité anormalement élevés ! Certes on ne peut pas déduire un lien de causalité avec l’introduction de cette nouvelle injection.

Mais on peut néanmoins s’interroger sachant que le produit est loin d’avoir prouvé son innocuité dans les études cliniques ![27]

La Commission de Transparence de la HAS a pourtant mis en garde contre les dangers potentiels de cette nouvelle thérapeutique.

Elle a exprimé à plusieurs reprises son inefficacité et son risque pour la santé des bébés.

Alors pourquoi le gouvernement français ignore ses propres agences ?

Pourquoi pas plus de scrupule et de rigueur pour prendre soin de la vie SACRO-SAINTE de nos bébés ?

Cette série d’incohérences mérite que nous accomplissions notre devoir de citoyens, que nous protégions la santé de nos enfants et que nous nous insurgions contre une mesure sans réel intérêt et potentiellement dangereuse pour la santé des enfants.

Car il semble que la santé des nourrissons n’est pas au centre des préoccupations…


Des études bâclées

La Commission de Transparence de la HAS a révélé un problème flagrant dans les essais cliniques du de ce nouveau traitement.

Les nouveau-nés ne forment qu'une très petite fraction des 4 500 bébés testés lors des essais cliniques.

L'âge moyen varie entre 2,6 et 3,5 mois selon les groupes.[28]

Ainsi, la suggestion de vacciner les bébés à la maternité[29], soit dès leur naissance, ne fait aucun sens : les deux essais cliniques n’ont quasiment pas testé cette tranche d’âge !

Et cela est même marqué noir sur blanc dans la fiche produit du “médicament”.

Et le plus fort : les experts de la HAS ont autorisé des injections sur des enfants de moins de 6 jours[30] – alors qu’aucune information sur les dangers potentiels n’est disponible ![31]

(Cette même HAS qui émet des doutes sur l’efficacité du “médicament”, on marche sur la tête…)

Cela ne vous rappelle rien ?

Évidemment, des voix critiques ont rapidement haussé le ton, tenté de dénoncer la supercherie.

En réponse, l'Agence France Presse (AFP) a rapidement dégainé son arme anti “désinformation”, AFP Factuel, afin de démentir les premières attaques.[32]

L'une des premières alertes “neutralisées” était celle de Hélène Banoun[33], biologiste et membre du Conseil Scientifique Indépendant, qui a lancé une initiative durant le COVID pour, je cite, “offrir une information claire, critique et indépendante sur les enjeux sanitaires du pays”.

Car c’est Banoun qui la première avait tiré la sonnette d’alarme. C’est elle qui avait, en premier, pointé du doigt le nombre inquiétant de décès dans les études cliniques américaines.[34]

Et qu’est-ce que l’AFP trouve comme objection ?

Répéter, sans aucun recul critique, les dires de la FDA : “les décès lors des essais cliniques ne sont pas dus [à ce traitement].”

Mais à quoi sont-ils dus alors ?

Selon la FDA, "aucun de ces décès n'a été considéré comme étant lié à l'injection ou au VRS" et ont été causés par des gastro-entérites, des méningites »

Et donc à aucun moment la FDA s’est dit que, peut-être, ce traitement aurait provoqué ces gastro-entérites ou aggravé les méningites ?

Où est la prudence scientifique qui est IMPÉRATIVE avant la mise sur le marché de TOUT médicament ?!

Et même l’AFP admet que “l’efficacité [de ce traitement] à réduire le nombre d'hospitalisations, est en revanche, quant à elle, à ce jour considérée comme limitée.”[35]

Donc voilà les faits : le nouveau traitement n’aurait aucun effet, et pire encore, selon les essais cliniques, il y aurait des effets secondaires graves voire mortels…


Médicament, vaccin ou … ?

La vérité, c’est que l’on sait peu de choses de ce médicament.

Le ministère de la santé insiste sur le fait que ce nouveau traitement n'est PAS UN VACCIN mais une “technologie basée sur les anticorps”.[36]

Rappelons ici que les injections contre le COVID, elles, se faisaient appeler “vaccin” alors qu'elles n’introduisaient pas la maladie dans l’organisme pour stimuler les anticorps…[37]

L’anticorps en question “est produit dans des cellules d’ovaires de hamsters chinois par la technologie de l’ADN recombinant”, comme l’explique Amine Umlil, pharmacien et juriste en droit de la santé.[38]

Hélène Banoun affirme qu’il s’agit donc de “cellules cancéreuses et donc d’un anticorps qui n’est pas 100% pur, qui contient des substances résiduelles”.[39]

Cet hiver, en France, des milliers de bébés vont se faire injecter un produit douteux, potentiellement plein de substances inconnues.

Les experts eux-mêmes n’en savent pas plus.

J’en veux pour preuve cet échange ahurissant au sein de la Commission de Transparence française.[40]

Mme Chastang (représentante du Collège de médecine générale) : Bien sûr, il y a la question du coût et surtout la question que ce vaccin, j’ai bien compris, qu’il allait être pris en charge à 100 %. […] Évidemment que la campagne de vaccination en maternité, à partir du moment où le généraliste a pu anticiper les éléments et informer les femmes enceintes, nous sommes très adaptés.[…].

M. Le Pr COCHAT, Président de la Commission Transparence.- Merci. Juste une précision, ce n’est pas un vaccin. C’est un produit qui ne passera pas par la commission technique des vaccinations.  

Quand même les experts se trompent, comment voulez-vous que la population leur fasse confiance ?

Cette situation soulève des questions éthiques profondes. 

  • Comment les décisions de santé publique sont-elles vraiment prises ? 
  • Qui en bénéficie vraiment ? Quelle est leur utilité réelle ?
  • Et surtout, qui en paie le prix ?

À cette dernière question, j’aurais envie de répondre “nos enfants”...

Je vous repose donc la question :

Que feriez-vous pour protéger la santé d’un bébé ?

Si vous hésitez, j’ai une réponse pour vous : aidez-moi à faire connaître le scandale sanitaire de ce nouveau traitement.

J’ai besoin de vous pour faire entendre raison à nos gouvernants.

J’ai besoin de vous pour que les Autorités sortent du déni et que nous évitions un nouveau scandale sanitaire.

Tout ce que je vous demande, c’est de signer cette pétition et de la diffuser autour de vous.


Où est passée la médecine des hommes ?

Aujourd’hui, l’État préfère croire que c’est la technologie qui nous soignera.

Des technologies aux noms sexy comme “ARn messagers” ou “ ADN recombinant” qui sonnent bien à l’oreille de ceux qui n’y comprennent rien.

On ne soignerait plus les patients avec des médecins qui prennent le temps d’établir un lien humain, de comprendre les besoins et l’histoire des personnes qu’ils soignent.

Les autorités sanitaires semblent être devenues technocrates et ne plus veiller à proposer les meilleures solutions pour les êtres les plus fragiles au monde : les nouveau-nés.

Comme si un nouveau médicament miracle allait faire le travail à la place des pédiatres...

Dans ce cas, c’est à nous, médias alternatifs (car les grands médias sont peu critiques en matière de santé publique), et c’est à vous, citoyens libres, d’en prendre la responsabilité.

Je suis prêt à me battre pour sauver la vie de nos enfants. Et vous ?


Auteur : Thibaut de Santé Non Censurée

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