URGENT

 Ce projet de loi pourrait MUSELER votre naturopathe !

Article 4 adopté : nos opinions sont maintenant illégales.

Destinataire(s) : Aurélien Rousseau, Ministre de la Santé
NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Mise à jour le 18.03.2024


COUP DE THÉÂTRE

L’article 4 repasse à l'Assemblée !


NOUS POUVONS ENCORE AGIR !


Il y a un mois, je vous faisais part de ma colère.


Le 15 février dernier, l’Assemblée nationale avait adopté le projet de loi “Protéger la santé”, où se trouve l’article 4 liberticide “Lutte contre les dérives sectaires”.


Pour rappel, cet article 4 permet de condamner à 3 ans de prison et 45’000€ d’amende: 


  • Toute personne qui pratique la médecine douce, naturelle, alternative
  • Toute personne qui s’oppose aux directives de l’État en matière de santé, dont les vaccins
  • Toute personne qui discute de santé alternative dans la presse, dans les médias ou sur son blog


Ni plus ni moins que l’assassinat en direct de notre liberté d’expression et notre liberté de soin !!!


J’ai pris la parole pour appeler à la mobilisation…et vous avez répondu présent !


Et le Sénat vous a entendu !!


Car quand le projet est repassé devant le Sénat le 7 mars, il a fait barrage ! [1]


La rapporteure et sénatrice Lauriane Josende s’oppose fermement à l’article 4. Elle cite notamment “la fragilité juridique” sur laquelle repose cet article.


Et je lui donne raison !

Conséquence:
le projet de loi doit à nouveau repasser par l’Assemblée nationale le 20 mars.


L’espoir subsiste: si nous sommes assez nombreux, nous pouvons encore agir. Nous pouvons remporter une victoire décisive pour la liberté d’expression.


Je me permets à nouveau de vous demander de signer cette pétition. Et de la partager autour de vous un maximum.


Votre voix peut être entendue.




Prenez soin de vous,


Thibaut Masco de Santé Non Censurée




[1] https://www.senat.fr/rap/l23-404/l23-404.html




Mise à jour le 19.02.2024

Article 4 adopté : nos opinions sont maintenant illégales


Je n’ai pas de mot assez fort (ou poli) pour décrire ce que je ressens.

Le gouvernement vient de remporter une triste victoire sur la liberté d’expression.


L’infâme article 4 du projet de loi “Lutte contre les dérives sectaires” a été adopté le 15 février par l’Assemblée nationale1.


Alors qu’il avait été rejeté fin décembre par le Sénat (à 8 voix près)2.

Je vous le dis franchement, j’ai peur pour l’avenir de la santé libre.

Un outil de répression déguisé

Le 15 novembre dernier, le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache déposent un projet de loi, “Protéger la santé”3..

Ce projet piloté par le Miviludes4 vise, je cite, « à renforcer la lutte contre les dérives sectaires ».

C’est l’article 4 du chapitre III qui m’avait fait hurler au scandale alors.


En résumé : la médecine naturelle est désormais considérée comme une “dérive sectaire”, amendable par la loi et passible de prison pour ceux qui la font, ceux qui en parlent et ceux qui l’utilisent.

Tout cela sous couvert de “protéger la population française des charlatans qui mettent en péril leur vie”.

Mais voyons ! À ma connaissance, les vaccins ont davantage d’effets secondaires que les huiles essentielles !

Et surtout, les médecines alternatives sont assimilées à des vraies sectes comme l’Ordre du Temple Solaire – qui, lui, a vraiment tué.

Bref, le 19 décembre, le projet de loi est présenté au Sénat pour être voté.

Mais les sénateurs, à juste titre, prennent peur : pour eux, ce projet de loi porte atteinte aux libertés individuelles.

Les ministres macronistes sont déboutés. Mais ils ne démordent pas, comme des pitbulls excités. Ils portent le projet à l’Assemblée le 13 février.

Rebelote : le projet est rejeté.

Jusqu’à ce qu’une pirouette administrativo-légale – l’article 101 du Règlement de l’Assemblée5 – permette aux Ministres de REVOTER le projet le 15 février.

Et cette fois c’est la bonne : le projet passe.

Que devons-nous craindre ?

Quand la prochaine crise sanitaire surviendra ;

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain ;

(Car l’OMS est en train de faire voter un traité qui lui permettra d’imposer une politique sanitaire aux États en cas de pandémie, pandémie qu’elle sera seule à déclarer !)6

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique sérieux, indépendant et correctement mené ;

Quand l’accès à votre assurance-maladie dépendra du nombre de vaccins que vous acceptez de recevoir7 ;
Les médecins, les médias et les citoyens qui oseront OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE pourraient risquer désormais :

  • 3 ans de prison
  • 45’000 € d’amendes
  • La qualification peu flatteuse de “sectaire dangereux

Et vos opinions pourraient être muselées, contrôlées, interdites.

Quand vous direz sur Twitter ou sur votre blog “j’ai des doutes sur le nouveau vaccin” vous risquez la censure ou le fichage (catégorie “Anti-Vax” donc fou dangereux).

Je suis en colère mais je ne suis sans doute pas le seul.

Souvenez-vous, j’avais lancé une pétition contre l’article 4 aussitôt que j’en avais entendu parler.

Il est temps de faire à nouveau entendre nos voix.

Je vous propose de m’aider à persévérer dans la lutte contre cette folie liberticide qui confond science et autoritarisme.

Avec un peu de chance, nous pouvons encore faire changer la décision. Il suffit parfois d’une goutte pour que le vase déborde.

Je vous demande donc de signer cette pétition si ce n’est pas déjà fait. Et surtout de la partager autour de vous.

Il en va de notre liberté.



Pour en savoir plus, vous pouvez lire la pétition que j'avais lancée sur ce sujet en décembre ci-dessous.





Pétition du 19 décembre 2023.


Un jour je ne pourrai sans doute plus vous écrire ces lignes…

En effet, ce simple mail pourrait me valoir d’être sur la « liste noire » des Autorités Sanitaires.

Moi, et tous mes confrères, rédacteurs libres et critiques du monde de la santé et de la médecine. 

Moi, mais surtout tous les médecins et scientifiques indépendants.

Ce qui se trame dans les salons feutrés du Ministère de l'Intérieur peut avoir des conséquences très graves pour notre santé et nos libertés.

À l’heure où je vous écris, le gouvernement a concrétisé ce qu’il fait en sourdine depuis des années : « contenir la médecine naturelle ».

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache.1

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » prétend aussi, par son chapitre 3, « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Quel est son but ?

À un premier niveau, condamner les véritables charlatans qui profitent de la faiblesse des patients pour leur soutirer de l’argent, les violer, ou les tuer !

Mais dans un second temps, cela veut dire…

Imposer des lois strictes pour soi-disant “encadrer” la médecine naturelle et en prévenir les “dérives sectaires”, en se basant sur “l'état des connaissances médicales actuelles”.

Quelles en sont les conséquences ?

Le danger potentiel (j’insiste) de ce projet de loi, serait qu'il déborde, et se mette à condamner toutes pratiques alternatives sous le prétexte fallacieux qu’elles sont “sectaires”.

C’est-à-dire, la création d’une médecine d’État.

Car qui décide de “l’état des connaissances médicales” ? Les scientifiques, oui. Mais lesquels ?

Ceux agréés par le gouvernement, qui a ses propres intérêts.

Souvenez-vous de Copernic, censuré par l’Eglise Catholique de Rome car il défendait la théorie de l’héliocentrisme (la Terre tourne autour du Soleil).3

Souvenez-vous de Galilée, condamné à la prison à vie par le Pape pour des théories similaires.4

À leurs époques, l’idée que le Soleil tournait autour de la Terre était la doxa, autrement dit, “l’état des connaissances scientifiques disponibles”.5

Mais aujourd’hui, qui oserait remettre en cause l’héliocentrisme ?

Plus proche de nous, 1964 aux États-Unis.

La Fondation de la Recherche sur le Sucre (Sugar Research Foundation) contacte le professeur Hass, et ses chercheurs Mark Hegsted et Robert McGandy à l’Université de Harvard.

Le deal ? 50'000 dollars pour qu’ils discréditent les articles existants sur le sucre6.

Les deux « chercheurs » passent au peigne fin toutes les études qui critiquent le sucre, et les attaquent systématiquement.

Et cela a marché ! Pendant 60 ans, l’état des connaissances médicales prétendait que le sucre raffiné était meilleur pour la santé que les graisses, y compris les bonnes graisses.7

Je vous repose la question : qui décide de “l'état des connaissances médicales” ? Et peut-on se fier à eux ?

Le Sénat votera le 19 décembre, et il votera “OUI” si nous n’agissons pas.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite, pour signer ma pétition qui fait bloc contre ce projet.

Que se passera-t-il après le 19 décembre ?

Après le 19 décembre, voilà ce qui risque d’arriver si nous ne faisons pas opposition.

  • Vous avez du cholestérol et votre médecin préfère passer par la médecine naturelle pour réguler votre taux, même élevé8 ? Il pourrait encourir 3 ans de prison.

  • Votre chaîne radio, votre journal, votre newsletter vous préconisent des alternatives aux traitements conventionnels ? 45’000 euros d'amende – et bien sûr leur fermeture.

  • Vous dénoncez les lobbys et les conflits d’intérêt ? Vous pourriez être considéré comme un “sectaire dangereux”, un charlatan versant dans le “complotisme sanitaire” (je vous jure qu’ils ont inventé cette expression !9)

Vous pensez que j’exagère ?

Je vous invite à lire le texte par vous-même.

Je vous l’ai recopié ci-dessous.

2) Art. 223-1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif), lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est,en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.

4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.

Permettez-moi de vous résumer cet imbuvable jargon juridique.

Les médecines alternatives sont mises dans le même sac que les pirescharlatans, qui sous le nom de “médecine naturelle” promeuvent des sectes et des pratiques dangereuses.

Comme si votre naturopathe était aussi dangereux que le Gourou de L’Ordre du Temple Solaire qui a provoqué le massacre de 74 personnes !10

Et cette loi ne s’applique pas qu’aux soignants, elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

Si votre opinion est jugée “sulfureuse” par les directives du gouvernement (qui peuvent changer d’un jour à l’autre comme l’a montré la crise du COVID), vous pourriez vous aussi être concerné.

Car vous aussi vous pourriez désormais être considéré comme “une personne dangereuse.”

Voici ce qui nous attend

Vous êtes un scientifique reconnu comme Didier Raoult ou Christian Perronne et affirmez ce que tout le monde constate, à savoir que le prétendu “vaccin anti-COVID” ne freine pas l’épidémie ? Le risque : 3 ans de prison !

Votre serviteur relaie dans sa newsletter Santé Non Censurée les très sérieuses études scientifiques affirmant que les médicaments anti-cholestérol ne diminuent pas la mortalité par infarctus11 et que vous devriez peut-être demander une alternative à votre médecin ? Le risque : 45’000 € d’amende et une réputation de complotiste !

Le Dr Irène Frachon alerte sur les dangers du Médiator ? Le risque : 45’000 € d’amende et 3 ans de prison !

Faisons bloc contre ce projet avant le 19 décembre

Cher lecteur, chère lectrice, j’ai besoin de vous.

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Si nous ne faisons rien, les opinions individuelles seront muselées.

Et le Pays des Droits de l’Homme deviendra un pays d’esclaves.

Auteur : Thibaut de Santé Non Censurée

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