Une injustice nutritionnelle frappe les Français, et notre système de santé l'ignore !
En France aujourd'hui, une réalité alarmante se cache derrière le masque de notre système de santé prétendument universel : nous sommes tous en manque de nutriments essentiels…
…Et pourtant rien n'est fait pour rendre accessibles les compléments alimentaires dont notre corps a besoin¹.
Selon l'étude SU.VI.MAX, 75% des Français manqueraient de vitamine D, 73% seraient déficients en zinc et près de 80% présenteraient des apports insuffisants en magnésium².
Ces nutriments ne sont pas accessoires – ils sont VITAUX pour notre fonctionnement cellulaire, immunitaire et métabolique.
Nos autorités de santé recommandent pourtant leur supplémentation dans de nombreuses situations, mais refusent de les rendre accessibles à tous par un remboursement, même partiel.
La Sécurité sociale rembourse des médicaments coûteux aux effets secondaires parfois dévastateurs, mais pas la majeure partie des nutriments essentiels dont notre corps a besoin quotidiennement pour fonctionner correctement !
Cette situation est d'autant plus révoltante que nos voisins européens ont déjà franchi le pas.
En Allemagne, en Suisse et dans les pays nordiques, de nombreux compléments alimentaires sont remboursés sur prescription médicale³.
En France, nous en sommes encore au stade de la discrimination nutritionnelle : seuls ceux qui peuvent se permettre d'acheter ces suppléments à des prix prohibitifs peuvent combler leurs carences.
Les Français méritent mieux que cette médecine à deux vitesses où la nutrition préventive reste un luxe !
Signez notre pétition pour exiger le remboursement des compléments alimentaires essentiels !
Des carences qui coûtent une fortune à notre système de santé
Saviez-vous que le coût des maladies liées aux carences nutritionnelles pourrait se chiffrer en milliards d'euros pour notre système de santé⁴ ?
Des études scientifiques ont établi des liens directs entre les carences en nutriments et l'apparition ou l'aggravation de nombreuses maladies chroniques :
- Les carences en vitamine D seraient associées à un risque accru d'infections respiratoires, d'ostéoporose et de certains cancers⁵.
- Le manque de magnésium contribuerait à l'hypertension, aux maladies cardiovasculaires et aux troubles neurologiques⁶.
- Les déficits en zinc affaibliraient notre système immunitaire, nous rendant plus vulnérables aux infections⁷.
- Les carences en fer provoqueraient fatigue chronique, troubles cognitifs et anémie⁸.
Et que dire des personnes âgées, particulièrement touchées par les carences multiples qui accélèrent leur perte d'autonomie ?
Ou des femmes enceintes dont les carences peuvent affecter le développement du fœtus⁹ ?
L'absurdité économique de cette situation est flagrante : nous refusons de rembourser des compléments alimentaires qui coûteraient quelques euros par mois, mais acceptons de payer des milliers d'euros en hospitalisations et traitements pour des maladies qui auraient pu être évitées !
La France est en retard sur ses voisins européens
Pendant que nous tergiversons, d'autres pays ont compris l'intérêt sanitaire et économique de rembourser les compléments alimentaires essentiels :
- En Allemagne, les caisses d'assurance maladie remboursent de nombreux compléments prescrits médicalement¹⁰.
- En Suisse, certains compléments figurent sur la liste des spécialités remboursables¹¹.
- Dans les pays nordiques, les suppléments de vitamine D sont largement pris en charge en raison du manque d'ensoleillement¹².
- Au Royaume-Uni, le NHS distribue gratuitement des compléments de vitamine D aux populations vulnérables¹³.
Quelle honte pour la France, qui se targue d'avoir l'un des meilleurs systèmes de santé au monde, de rester à la traîne sur un sujet aussi crucial que la prévention nutritionnelle.
Une discrimination nutritionnelle inacceptable
Les personnes les plus vulnérables sont les premières victimes de cette politique à courte vue :
- Les seniors, dont les besoins nutritionnels augmentent avec l'âge, mais dont les revenus diminuent.
- Les personnes aux revenus modestes, contraintes de faire des choix entre se nourrir et se soigner.
- Les malades chroniques, dont l'état nécessite souvent un apport supplémentaire en certains nutriments.
- Les femmes enceintes et allaitantes, dont les besoins nutritionnels sont démultipliés.
Comment accepter que dans la France de 2025, l'accès aux nutriments essentiels dépende encore du niveau de revenu ?
Une étude de l'INSERM a démontré que les personnes aux revenus les plus modestes présentaient jusqu'à 2,5 fois plus de carences nutritionnelles que les catégories aisées¹⁴.
Cette inégalité nutritionnelle se traduit directement par une inégalité sanitaire.
Les plus défavorisés sont ainsi doublement victimes : plus carencés et moins capables financièrement d'y remédier.
Une aberration médicale et économique
Le paradoxe est saisissant : notre système de santé rembourse des traitements symptomatiques coûteux, mais refuse de prendre en charge les compléments nutritionnels qui pourraient prévenir ces pathologies en amont !
Une étude économique réalisée en 2023 a estimé que pour chaque euro investi dans la supplémentation en vitamine D, le système de santé pourrait économiser jusqu'à 4,30 euros en coûts évités (hospitalisations, traitements, arrêts de travail)¹⁵.
Notre système de santé préfère-t-il réellement dépenser des milliards pour traiter des maladies évitables plutôt que quelques millions pour les prévenir ?
Les compléments alimentaires ne sont pas des produits de confort ou de luxe, mais des outils essentiels de prévention sanitaire.
Dans un contexte où notre alimentation s'est appauvrie en nutriments (appauvrissement des sols, ultra-transformation des aliments), ils sont devenus indispensables pour maintenir une bonne santé.
Le scandale du double standard réglementaire
Alors que l'ANSES et les autorités sanitaires reconnaissent l'importance cruciale de ces nutriments, elles prennent simultanément des mesures pour restreindre leur accès :
- Réduction des doses journalières maximales autorisées dans les compléments alimentaires¹⁶
- Complexification des allégations de santé autorisées
- Tentatives d'interdiction de certains nutriments comme le silicium organique¹⁷
Cette politique qui ne va que dans un sens est inacceptable : d'un côté on reconnaît l'importance des nutriments essentiels, de l'autre on refuse leur remboursement et on complique leur accès !
Notre santé dépend de notre mobilisation collective !
Face à cette situation intolérable, nous ne pouvons plus rester silencieux.
Les carences nutritionnelles minent notre santé individuelle et collective, et continueront de le faire tant que les compléments alimentaires essentiels ne seront pas rendus accessibles à tous.
Nous devons massivement nous mobiliser pour que le remboursement des compléments alimentaires essentiels devienne une réalité en France. C'est une question de santé publique, d'égalité d'accès aux soins et de bon sens économique.
SIGNEZ CETTE PÉTITION POUR EXIGER LE REMBOURSEMENT DES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES ESSENTIELS !
Nous demandons des mesures immédiates :
- L'instauration d'un système de remboursement des compléments alimentaires essentiels (vitamines, minéraux, acides aminés) sur prescription médicale.
- La création d'une liste officielle des compléments alimentaires remboursables, établie par des experts indépendants.
- La mise en place d'un programme national de dépistage des carences nutritionnelles, pris en charge à 100%.
- L'intégration de la nutrition préventive dans la formation des professionnels de santé.
- La création d'une catégorie réglementaire spécifique pour les "nutriments essentiels", distincte des médicaments et des simples compléments alimentaires.
La prévention nutritionnelle n'est pas un luxe, c'est un investissement pour la santé de tous. Ne laissons plus les intérêts financiers dicter notre politique de santé !
SIGNEZ MAINTENANT POUR VOTRE SANTÉ ET CELLE DE NOS ENFANTS !
¹ Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), "Étude individuelle nationale des consommations alimentaires 3 (INCA 3)", 2017.
² Hercberg S, et al. "The SU.VI.MAX Study: a randomized, placebo-controlled trial of the health effects of antioxidant vitamins and minerals", Archives of Internal Medicine, 2004.
³ European Federation of Associations of Health Product Manufacturers, "Rapport sur les politiques de remboursement des compléments alimentaires en Europe", 2022.
⁴ Shanahan C, de Lorimier R. "Smart Prevention - Health Care Cost Savings Resulting from the Targeted Use of Dietary Supplements", Frost & Sullivan, 2013.
⁵ Martineau AR, et al. "Vitamin D supplementation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data", BMJ, 2017.
⁶ DiNicolantonio JJ, et al. "Subclinical magnesium deficiency: a principal driver of cardiovascular disease and a public health crisis", Open Heart, 2018.
⁷ Wessels I, et al. "Zinc as a gatekeeper of immune function", Nutrients, 2017.
⁸ World Health Organization, "Global nutrition targets 2025: anaemia policy brief", 2014.
⁹ Czeizel AE, Dudás I. "Prevention of the first occurrence of neural-tube defects by periconceptional vitamin supplementation", New England Journal of Medicine, 1992.
¹⁰ Bundesministerium für Gesundheit, "Arzneimittelversorgung in der gesetzlichen Krankenversicherung", 2023.
¹¹ Office fédéral de la santé publique, "Liste des spécialités", Suisse, 2023.
¹² Nordic Council of Ministers, "Nordic Nutrition Recommendations 2023", Copenhagen, 2023.
¹³ National Health Service, "Healthy Start Vitamins", UK, 2022.
¹⁴ INSERM, "Inégalités sociales de santé en lien avec l'alimentation et l'activité physique", Expertise collective, 2022.
¹⁵ Hiligsmann M, et al. "Cost-effectiveness of vitamin D and calcium supplementation in the prevention of osteoporotic fractures", European Journal of Public Health, 2023.
¹⁶ ANSES, "Avis relatif à l'établissement de doses journalières maximales pour les compléments alimentaires", 2023.
¹⁷ ANSES, "Avis sur la sécurité du silicium organique dans les compléments alimentaires", 2022.
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